Je fête ce mois-ci mon premier anniversaire comme abonné privilégié au système de surveillance de l’OQLF.
L’OQLF ou l’Office Québécois de la Langue Française pour ceux qui ont la chance de ne pas savoir c’est quoi, ou contrairement à moi, de ne pas avoir à faire à eux.
Ce système est composé de fonctionnaires ayant trop de temps libre qui cherchent, fouillent et grattent pour trouver la moindre infraction à notre sacro-sainte Charte Québécoise de la Langue Française.
Tsé les chartes comme on entend parler depuis un moment. Ce n’est pas parce que le nom sonne bien que c’est rempli de gros bon sens.
En fait, d’un point de vue historique, cette charte faisait du sens. Dans les années 70, cette charte a contribué à améliorer le français au Québec. Mais comme l’enfer est pavé de bonnes intentions, le kossin qui faisait du sens il y a 40 ans en fait moins aujourd’hui.
Vous avez entendu parlé du pastagate, du facebookgate? Les histoires d’inspecteurs zélés de l’OQLF sont courantes.
Watch out s’il vous pogne avec un piton « on/off ».
Mais toi Steph, ils te veulent quoi?