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Je suis en train de lire « Founders at work » et j’aurai sans doute plein d’inspiration pour bloguer un max dans les prochaines semaines. Le premier constat qui me frappe est la facilité d’obtenir du capital de démarrage aux USA auprès de VC (Venture Capitalists).
Je savais que c’était plus facile qu’ici, au Québec, mais c’est en encore plus facile que je le pensais. À un point tel que n’importe quel bozo avec une idée web, leurs idées ne sont pas meilleures ou pires que les nôtres, n’a qu’à faire un papier avec son idée dessus puis descend la rue principale de Silicon Valley où se trouvent des centaines de VC avec la porte ouverte, prêts à vous donner des millions.
Bon, c’est peut-être exagéré, mais pas tant que ça. Grosso-modo, les fondateurs de startups aux USA ont une idée, font un plan d’affaires et se disent simplement « Hey, allons chercher du capital pour démarrer notre projet ». De la même manière que je dirais « Hey, je viens d’avoir une bonne idée, allons chercher un chips pis une grosse bière pour démarrer notre projet ». C’est dingue.