Encore les zartistes et la cuuultuuuuure

Bon, aprĂšs Culture en pĂ©ril, voilĂ  que les zartistes en remettent avec Unissonsnosvoix.ca. Cette fois, c’est Ă  visage dĂ©couvert et ça semble l’initiative tout a fait bĂ©nĂ©vole de gens du milieu. On y voit plein de beaux zartistes, le cƓur sur la main prĂȘt Ă  sauver le monde, discourir de maniĂšre Ă©lĂ©gante sur l’infĂąme Harper mal-aimĂ©, chef conservateur et petit frĂšre idĂ©ologique de Georges W Bush. Le diable en personne quoi. Version canadienne. Il mange mĂȘme des enfants au petit dĂ©jeuner il paraĂźtrait


À propos, ça serait amusant de calculer la somme des revenus annuels de cette brochette d’artistes, non? Mon feeling me dit qu’on dĂ©passe lĂ©gĂšrement le salaire quĂ©bĂ©cois moyen de 37 K$…

Ceci dit, je pense que c’est de la dĂ©magogie et de la propagande insignifiante. Mais! Mais, faut avouer que le Web 2.0 est trĂšs utile pour faire passer un message Ă  grande Ă©chelle et Ă  peu de frais. Des vidĂ©os, des zartistes bien en vue, un ou deux rĂ©seaux sociaux et quelques emails et voilĂ , on fait passer son message politique les doigts dans le nez.

La connerie du vote stratégique

Si j’étais d’accord avec le contenu, je saluerais l’initiative. Mais bon, quand le but est de promouvoir le vote stratĂ©gique « Voter stratĂ©gique, c’est voter pour le candidat le plus susceptible de contrer le candidat conservateur. », ça me laisse plutĂŽt perplexe quant Ă  la pertinence de l’action. Perso, je trouve que c’est n’importe quoi, absurde et totalement stupide. Mais ça doit ĂȘtre seulement moi qui n’a rien compris.

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Quels impacts aura la crise économique sur les startups Web?

Le bordel est pris aux Etats-Unis avec le rejet, hier, du plan de sauvetage de 700 MM$ pour sauver les conneries de quelques individus trop greedy. Plusieurs bourses ont chutĂ© dramatiquement, la pire chute depuis 1987. On parle de pire depuis 1929. Le pĂ©trole Ă  descendu et l’or Ă  grimpĂ© (je ne suis pas Ă©conomiste, mais quand l’or grimpe, c’est que les gens placent leur billes dans des valeurs sĂ»res).

Alors, ça change quoi dans notre vie? Aujourd’hui, pas grand-chose tant qu’on ne va pas consulter notre relevĂ© de placements (ce que j’hĂ©site Ă  faire). En 2001, lors d’une mĂȘme crise, j’avais des placements qui avaient chutĂ© de 50%. De quoi causer un peu d’insomnie.

Et demain? Alors lĂ , c’est de la spĂ©culation. Pour le Web par contre, j’aurais tendance Ă  dire que ça ne sera pas plus rose qu’ailleurs. Surtout pour les startups. En fait, je pense qu’il y a trois types de startups et que peu d’entre elles survivront. Comme en 2000-2001.

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À mort la pub vidĂ©o en pre-roll

Si on avait Ă  choisir un gagnant parmi tous les formats de publicitĂ©s irritantes, je donnerais mon vote aux pre-roll vidĂ©os, ces annonces vidĂ©os qu’on nous force Ă  voir avant d’écouter une vidĂ©o en ligne. Encore ce matin, je regardais les meilleurs moments de la fin de semaine de football sur NFL.com. À quelques reprises, j’ai dĂ» patienter des 15 secondes avant de consommer ce que je suis venu voir.

Je pense que le mot clĂ© ici est « forcer ». Contrairement aux publicitĂ©s interstitielles (celles qui prennent toute la place de l’écran) que l’on peut rapidement fermer si on trouve le « close », les pre-roll n’offrent aucun moyen d’accĂšder au contenu directement. MĂȘme les pop-under (comme les interstitielles, mais plus petites) ont gĂ©nĂ©ralement un bouton « close » pour Ă©viter d’ĂȘtre irriter.

De plus, ce n’est pas seulement sur NFL.com, mais sur plusieurs autres sites de vidĂ©o. En fait, je pense que seul Youtube a rĂ©sistĂ© aux pre-roll jusqu’à prĂ©sent. D’autres, comme TonTuyau exagĂšrent non seulement en nous affichant un pop-under, mais aussi cette foutue pub pre-roll. L’un tient Ă  l’expĂ©rience utilisateur, l’autre pense pognon Ă  court terme. Je vous laisse deviner lequel.

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Twitter, enfin du sensé dans ce fouillis

Je ne suis pas un fan de Twitter, c’est connu, mais ça ne veut pas dire que je ne sais pas reconnaĂźtre des bonnes idĂ©es. À ce sujet, je viens de dĂ©couvrir electopinions.ca, un site qui ramasse des flux twitter qui jasent des Ă©lections fĂ©dĂ©rales canadiennes, mais regroupĂ©s par partis politiques. Ainsi, ça rĂšgle un gros problĂšme que j’ai avec twitter : Faire ressortir de l’info intĂ©ressante dans un gigantesque ocĂ©an d’insignifiances.

Bref, voilĂ  une bonne façon de suivre les Ă©lections et d’avoir un point de vue diffĂ©rent de celui prĂ©sentĂ© dans les mĂ©dias
 qui ne sont pas toujours impartiaux disons.

Bravo Ă  Sam et Dave pour l’idĂ©e.

Twitter va-t-il remplacer ce blogue?

Je lisais il y a quelques jours un article sur Twitter (je ne trouve plus le lien de l’article). En gros, ça disait que Twitter est l’avenir des blogues. L’évolution quoi. Ainsi, les premiers blogueurs des annĂ©es 2000 serait tannĂ©s de bloguer alors ils se mettent Ă  twitter. C’est plus simple, plus vite, plus interactif. Pourquoi Ă©crire un paragraphe si on peut dire la mĂȘme chose en 140 caractĂšres?

Pour les non initiĂ©s, twitter est un service de microblogging qui met l’emphase sur ce qu’on fait prĂ©sentement (what are you doing?). Voir un exemple d’une mordue de twitter. Un genre de tĂ©lĂ©graphe des temps modernes pour informer la planĂšte que nous sommes en train de manger un bol de soupe. C’est pas moi qui le dit, c’est indiquĂ© dans le « pourquoi » utiliser twitter : « Eating soup? Research shows that moms want to know. » Eh bien


Mais bon, plus que de la soupe, apparemment que ce truc va remplacer les blogues comme tel. Ce dont je doute un peu. Au risque de paraĂźtre vieux jeu et fermĂ© aux nouvelles technologies (twitter n’a rien d’une innovation technologique Ă  mon avis), j’aime bien mon blogue et je cherche encore oĂč est l’utilitĂ© de twitter.

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Le Cyberpresse nouveau : Dehors Nuouz et
 Digg!

Cyberpresse Ă  lancĂ© son nouveau site Web Ă  l’heure du souper. Le site est bien, Ă©purĂ©, clair avec beaucoup de liens. D’aprĂšs moi, ça a jasĂ© SEO quelques fois lors des sĂ©ances de brainstorming… Des fils RSS partout mĂȘme si je doute que ça soit grand public comme technologie. La bonne nouvelle c’est qu’un grand mĂ©dia peut faciliter l’adoption de ce genre de truc.

Mais bon, le site est correct dans son ensemble sans qu’il y ait matiĂšre Ă  en parler pendant des heures. En toute honnĂȘtetĂ©, je n’avais qu’une chose en tĂȘte Ă  la sortie de cette nouvelle version : OĂč en serait Nuouz dans les fonctions de partage. Vous savez, ce truc Web 2.0
 le partage, parce que tout le monde est beau et gentil…

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 Digg! »

PHP. ASP, Java, .Net. De quelle religion ĂȘtes-vous?

Parler de dĂ©veloppements technos est rendu aussi « sensible » que de parler de religion ou de politique. En fait, non, c’est n’est pas rendu, mais ça toujours Ă©tĂ© comme ça. Mais lĂ , je me frotte de plus en plus rĂ©guliĂšrement Ă  des extrĂ©mistes d’une idĂ©ologie, quelle soit du monde Open Source ou bien du clan Microsoft.

Des extrémistes?

Oui, des extrĂ©mistes. Des gens qui, d’emblĂ©e, s’installent dans leur forteresse et affirme leur position : « .Net c’est de la marde. » ou « PHP, c’est de la marde. ».

Je suis confrontĂ© Ă  ces gens parce que personnellement, je dĂ©veloppe en .Net et j’adore SQL Server. Mais aussi parce que je dis que PHP est parfait pour beaucoup de sites Web. Ça arrive que les gens tombent de leur chaise comme si je venais d’enlever les yeux d’un rat pourri pour lui manger l’intĂ©rieur de la tĂȘte avec une cuiller rouillĂ©e. « Steph, t’es pas un peu dĂ©bile de programmer en .Net? PHP, c’est ben mieux! »

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Facebook et la politique

Tiens tiens, en cet automne d’élections fĂ©dĂ©rales canadiennes,  je dĂ©couvre des aspects que je ne connaissais pas chez plusieurs personnes grĂące Ă  Facebook. On y voit de tout dans les statuts et dans les commentaires lus un peu partout. Surtout ce matin alors qu’une vidĂ©o sur les coupes budgĂ©taires dans la cuuultuuuure (Ă  prononcer avec la bouche pincĂ©e) circule sur le Web (Ă  voir ici pour un bon topo et lĂ  pour un point de vue qui me rejoint plus).

Alors voilĂ  que je vois les couleurs de plusieurs « amis ». J’en vois qui sont pas mal Ă  gauche (je croyais que c’était plus le crĂ©neau de MySpace?). Rares sont ceux qui affichent leur position politique et leur amour pour le parti conservateur et Harper. Pourtant, j’en connais plusieurs qui ne voteront pas pour le parti LibĂ©ral et encore moins pour le Bloc.

Mon feeling Ă  la lecture de ces petits bouts de phrase?

« Ha tiens donc, en voilĂ  un que je n’inviterai pas Ă  souper chez moi »

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Trop tĂŽt pour le Web mobile?

Suite Ă  mon billet d’hier (Quel est le futur de la rencontre en ligne?) et Ă  la lecture de ce matin sur l’Internet mobile (Les nouveaux internautes se passent d’ordinateur), j’essaie d’évaluer si c’est trop tĂŽt pour dĂ©velopper une business axĂ©e principalement, voire uniquement, sur le Web mobile.

Internet mobile oui, mais pas de Web

Quand on parle de Web mobile, on parle de Web tel que nous le connaissons avec un ordinateur et un navigateur. C’est ce que nous avons sur un iPhone par exemple. Un tĂ©lĂ©phone branchĂ© Ă  Internet qui peut envoyer des messages textes, prendre ses courriels et voir du contenu dans un format pas trĂšs joli, ce n’est pas du Web, mais un tĂ©lĂ©phone Internet.

Sur la planĂšte, les messages textes sont trĂšs utilisĂ©s. Beaucoup par les jeunes. Au Kenya, les chauffeurs de taxi se font payer par les tĂ©lĂ©phone mobile. Au Kenya… Du paiement par tĂ©lĂ©phone mobile… Incroyable. Est-ce que l’Ăšre du Web mobile se dĂ©veloppera dans les pays Ă©mergents parce que le mobile est leur seule infrastructure?

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Quel est le futur de la rencontre en ligne?

Pour une rare fois, j’ai Ă©coutĂ© au complet une confĂ©rence Ă  la TV au Canal Savoir. Un peu comme les tĂ©lĂ©annonces, je me suis toujours demandĂ© qui regardait ça
 Mais cette fois, je suis tombĂ© sur un sujet intĂ©ressant : Facebook, MySpace : comment Ă©voluent les liens sociaux?

On ne se le cachera pas, je compte bien lancer un site de rencontre dans un futur rapprochĂ©. AprĂšs 4adate.net (le whois montre que le domaine appartient maintenant Ă  Match.com!) en 1998 et SeducZone.com en 2001 que j’ai revendu, pourquoi pas un autre? Ça, c’est la partie facile. Quoi faire maintenant. C’est plus difficile.

Tout d’abord, il faut comprendre comment la rencontre en ligne Ă  Ă©voluĂ©. À ce sujet, la confĂ©rence « Facebook, MySpace : comment Ă©voluent les liens sociaux? » est vraiment trĂšs intĂ©ressante. Si jamais la vidĂ©o se retrouve en ligne, ça vaut la peine d’ĂȘtre vu. Voici donc un rĂ©sumĂ© de la rencontre en ligne.

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