Le succès, question de chance ou de talent?

On qualifie souvent de génie ceux qui connaissent de gros succès. Pensons aux gourous du Web 2.0 avec par exemple, Digg, Flickr ou Facebook par exemple. Mais quand ces « génies » lancent une 2e startup, combien ont autant de succès que leur expérience précédente? Peu.

Je pense à Pownce qui a été lancé par les types derrière Digg. Si Digg est un pillier du Web 2.0 et que ces concurrents ne sont que de pâles copies, Pownce, le supposé Twitter Killer n’a rien d’un succès. En fait, on dit même « It seems to me that Pownce is as good as dead. » dans un article comparant Twitter et Pownce.

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Dur dur la vie chez Facebook

Avec plus de 500 M$ en financement, on pourrait croire que la vie est belle chez Facebook, non? A tout le moins, la vie ne doit pas être trop difficile. Et bien non. Il semblerait que ce n’est pas cheapo de nourrir un monstre comme Facebook. Monstre oui, avec ses 161 M de visiteurs uniques et ses 61 MM de pages vues par mois.

2-3 serveurs, 2-3 employés et on y est?

Non, pas vraiment. En fait, Facebook est un gouffre à pognon sans fin. Parmi les coûts d’opérations relevés par Techcrunch, notons ceux-ci (par mois):

– Électricité : 1 M$
– Bande passante : 500 000$
– Loyer et centres de données 1.25 M$
– Masse salariale des 700+ employés : 10 M$

Total par mois : 12.75 M$ (150 M$ par année)
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Nom et logo pour les Soirées Web & Affaires à Québec

Thierry de chez Hatem et son designer David me proposent ce nom et ce logo pour représenter les Soirées Web & Affaires à Québec. Vous en pensez quoi?

Perso, j’adore! De un, il y a un verre de martini qui représente bien l’esprit 5 @ 7 de ces soirées (et ce n’est pas moi qui va être contre le martini). De deux, le nom se dit bien sans être trop sérieux. Ça illustre bien le côté informel et convivial de ces soirées. Beau boulot David!

Les plus futés auront compris le jeu de mot dans le nom… 5 @ 7… Swaff… vous pigez?

Soirée Web & Affaires à Québec, jeudi le 13 novembre prochain

Bon, à en parler à gauche et à droite, la date du jeudi 13 novembre semble le plus appropriée pour la première soirée ex-yulbiz-québec sans nom. J’aime bien le nom proposé par Luc « Soirée Web & Affaires à Québec (SWAQ) » mais CFD a également proposé un nom intéressant : « les-soirées-pas-vraiment-de-nom-pour-rencontrer-du-monde-qui-ne-veulent-pas-vraiment-parler-de-boulot-mais-qui-vont-finir-par-le-faire-de-toute-façon-après-deux-gin-tonics ».

Quoi?

Le but de cette soirée est de jaser Web et business lors d’un 5 à 7 dans une ambiance informelle avec des passionnés et curieux.

Qui?

Ça s’adresse à quiconque s’intéresse de près ou de loin aux affaires électroniques, c’est-à-dire à faire des affaires avec Internet. Du néophyte a l’expert, employé, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!

Où?

Chez Mo.

Quand?

Jeudi 13 novembre à 17h30

Quoi faire pour montrer son intérêt?

Un groupe et un événement ont été créé sur Facebook. Joignez-les!

Par ailleurs, je comptais organiser ces soirées pas plus de 7 fois par année. Le 2e jeudi du mois me semble un bon moment. J’annonce donc les dates de ces soirées jusqu’à l’été prochain maintenant :

– 13 novembre 2008
– 12 février 2009
– 12 mars 2009
– 9 avril 2009
– 14 mai 2009

Écrivez ces dates à vos agendas!

Qualifié pour les cinq gros chèques du Reader’s Digest

Oui oui, moi Stéphane Guérin est qualifié pour gagner 5 gros chèques dont un de 500 000$! Et preuve que ce n’est pas de la frime, ils m’envoient les 5 gros chèques! En gros à part de ça. Sur du papier de 28’’ X 16’’. Dans une grosse enveloppe jaune. Ça doit bien coûter quelques dollars pour un seul envoi. Mais ce n’est pas grave, puisque j’ai été choisi dans la sélection finale et que je fais parti du 1% de chanceux à qui cette offre s’adresse.

Offre?

Je gagne quelque chose ou c’est une offre? Ha ok, pour avoir ces gros chèques, je dois m’abonner à Sélection Reader’s Digest! Maudit… je croyais vraiment avoir gagné 500 000$. Ha ben oui, en y regardant de plus près, ces chèques sont en réalité… DES FAUX CHÈQUES! Merde. Moi qui courait les encaisser…

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Quoi de neuf avec le Yulbiz-Québec?

Alors Steph, à quand un prochain Yulbiz-Québec?
Je ne sais pas.

Ceci résume l’ensemble des discussions que j’ai eu avec les yulbizeurs de Québec au cours des dernières semaines. Je pensais faire une mise au point sur ce blogue, mais je n’étais pas certain de mes réflexions alors j’ai pris le temps d’en parler à quelques individus.

Le constat

D’entrée de jeu, je n’avais pas l’intention d’organiser d’autres Yulbiz-Québec. J’en avais même parlé lors du dernier Yulbiz-Québec. Si quelqu’un voulait prendre la relève, il était le bienvenue!

Mais Steph, le Yulbiz-Québec, ça a bien fonctionné?

Oui, absolument. Très bien même! Les gens de Montréal ont eu une excellente idée d’organiser ce genre de soirée qui m’a inspiré pour en faire autant. D’une soirée « test » dont je ne savais pas à quoi m’attendre, ça a duré plus d’un an.

En plus de faire du business et de rencontrer un partenaire d’affaires hors pair, j’ai rencontré plusieurs personnes intéressantes dont Jonathan, Martin Lessard, Geoffroi, Chris, Kim, Wendy, Samuel, Sébastien, Bernard, Claude Poulin, Claude Malaison, Isabelle, CFD, Michael, Mario, Rémi, Simon, Martin Bittner, Martin Breton, Greg, Denis, Guy, Luc et Luc, Claire, Philipe Fekete, Denis Chiasson, PAF, Stéphane Hamel, Stéphane Muller, Andrée, Mathieu Guimont, Nicolas, Thierry, Jeff Bouchard, Jeff Noel, Gabriel, Phil Gauvin, les p’tits gars Jason et Carl, Graeme, Jeff Rousseau, Joé et sûrement d’autres dont ma mémoire oublie les noms.

Alors pourquoi ne plus organiser de Yulbiz-Québec?

Trois raisons principales :

– Le bassin réduit de blogueurs d’affaires

À Québec, on compte sur quelques doigts le nombre de blogueurs d’affaires. Pour faire des soirées où le blogueur d’affaires est en vedette, on limite le rayonnement. A titre de comparaison, à Montréal, il doit bien en avoir 3 ou 4 au pied carré.

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Trouver une niche avec un peu de créativité

Quoi faire quand on est dans un secteur compétitif et que les concurrents ont des moyens démesurés? Abandonner? Certainement pas. Abandonner sans se battre un peu, c’est pour les peureux! Se spécialiser? Se spécialiser comme dans « on se spécialise et on devient les meilleurs dans telle ou telle niche »? Absolument.

Pour la plupart des startups, c’est toujours pareil. On lance un projet suite à une idée qu’on a eu dans notre douche. Le fond de départ frôle habituellement les 150$. Puis le ou les fondateurs font tout du développement à la mise en marché. Et hop, Google, Microsoft ou autre géant arrivent avec un produit similaire. Gratos en plus. Et vlan dans les dents pour la startup.

Doit-on se démoraliser et accrocher la corde au ventilo du plafond? Ça serait bien trop facile. Et l’entrepreneur aime les défis, non? Et si c’était facile, ça ne serait pas satisfaisant! La bonne nouvelle quand un géant se met dans notre chemin, c’est qu’il se tape tout le marketing et l’éducation. Plus un géant rend un produit mainstream, plus les consommateurs seront avisés et rechercheront pour connaître les différentes offres. Dont la vôtre, minable startup.

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Les startups et la spirale de la mort

Le blogue d’actualités techno-startups Techcrunch a lancé un compteur de mises à pied dans les startups. C’est un peu paradoxal ce truc. D’une part, les startups font des coupures afin de réduire les dépenses face à l’incertitude économique. D’autre part, ça peut avoir l’effet boule de neige et entraîner un comportement émotif, donc irrationnel, et aggraver les choses.

Ici au Québec, nous sommes chanceux. Capazoo a fermé ses portes depuis longtemps alors c’est inutile d’avoir un tel compteur.

Par ailleurs, Paul Graham croit que ce n’est pas un mauvais temps de démarrer une startup. Je suis d’accord. Vous en pensez quoi?

Quelqu’un a testé Amazon EC2 et MySQL?

Pour faire suite à mon autre billet de ce matin, ca fait plusieurs fois que j’entends parler du cloud computing chez Amazon. Leur fameux service EC2 entre autres. De ce que j’en comprends, ce sont des machines virtuelles où l’on paie pour l’utilisation des ressources. D’accord pour des applications Web. Mais pour une base de données?

Mon rêve

Je ne suis pas un gars de hardware. En fait, je déteste jouer dans les serveurs et la quincaillerie. Je suis un gars de conceptuel et d’applications Web. Étant dans une PME, nous sommes tous des plombiers et je n’ai pas le choix que de me mettre les mains sous le capot.

Mais dans un monde en pain d’épices où les parcomètres donneraient des gommes ballounes, le côté mécanique des technologies de l’information n’existerait pas. Ou serait acquis. Comme l’électricité. Qui sait comment le réseau d’électricité fonctionne? Personne. Ça fonctionne. Il n’y a pas de problème. On aime ça de même.

Pour une base de données et autres applications Web, je veux exactement ça. Qu’on développe un petit widget insignifiant ou encore un système de calcul monstre, avec une base de données de plusieurs téraoctets et des millions de requêtes à la minutes, ça ne devrait rien changer pour moi, le gars de concept. Ou si peu.

Cloud computing, Amazon EC2… MySQL

À la lecture de plusieurs articles, dont celui-ci, je me dis que mon rêve n’est peut-être pas si fou. Mais je ne comprends pas encore très bien comment tout ceci fonctionne. J’aimerais donc savoir si quelqu’un dans la salle a déjà testé ce genre de système avec une base de données de bonne envergure. Avis, opinions, commentaires, pistes de solutions sont les bienvenues!

Curieux suivi des ventes chez MySql

Même si je suis un fan de SQL Server, je surveille régulièrement ce qui se passe avec MySQL et autres SGBD. En effet, au fil que mes besoins évoluent, je cherche toujours la meilleure solution au meilleur coût. Si SQL Server est une excellente solution, son coût peut freiner des ardeurs de développement. Mais si MySQL est gratos, son manque de fonctionnalités et de gestion intégrée peut lui aussi être un beau frein.

Mais bon, toujours est-il que la journée où MySQL équivaudra SQL Server à tous les niveaux, je serai sûrement tenté de faire le switch pour voir si c’est plus vert chez le voisin. Donc, je lis les white papers, leur documentation, je download les dernières versions et je regarde leurs outils de gestion, etc.

L’art d’accrocher un prospect

Comme c’est une compagnie et qu’ils veulent faire du fric, ils doivent faire un suivi des ventes. Ils demandent les coordonnées de ceux qui zyeutent leurs produits et leur documentation. Après un certain temps, ils me relancent. Comme je ne donne pas suite par manque d’intérêt et/ou de temps, ils me relancent à nouveau. Et encore une autre fois. Puis une dernière fois en me disant que c’est le dernier email qu’ils m’envoient.

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