Se lancer seul dans une startup?

Vous ĂȘtes prĂȘt Ă  fait le saut dans le monde des statups et mettre en branle votre projet d’affaires? Vous y croyez tellement que vous pensez y arriver seul? Bonne chance! En effet, pourquoi plusieurs entreprises sont le fruit de plusieurs partenaires? Parce que c’est plus facile et plus intelligent.

Plus facile?

Avez-vous vraiment une bonne idĂ©e de tout le travail que comporte une entreprise outre le dĂ©veloppement du produit / service? La vente, le service, la comptabilitĂ©, la gestion des ressources humaines, la gestion au jour le jour, etc. Ça en fait des trucs Ă  penser pour une seule personne.

Plus intelligent?

Avec toutes ces tĂąches, vous passerez plus de temps Ă  faire ce que vous dĂ©testez plutĂŽt que faire ce que vous aimez et ce dans quoi vous ĂȘtes le meilleur. Se trouver des partenaires complĂ©mentaires est un signe de talent en affaires : S’entourer de gens compĂ©tents et faire confiance aux autres.

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SWAFF d’automne, ce soir @ MO

Je vous rappelle que la SWAFF d’automne, c’est ce soir chez Mo! Plus de 50 personnes ont confirmĂ©s et comme d’habitude, d’autres s’ajouteront au groupe.

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SWAFF c’est quoi?

Le but des soirĂ©es Web & Affaires est de jaser Web et business lors d’un 5 Ă  7 dans une ambiance informelle avec des passionnĂ©s et curieux. C’est gratuit, vous ne payez que vos consommations.

SWAFF c’est pour qui?

Ça s’adresse Ă  quiconque s’intĂ©resse de prĂšs ou de loin aux affaires Ă©lectroniques, c’est-Ă -dire Ă  faire des affaires avec Internet. Du nĂ©ophyte Ă  l’expert, employĂ©, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!

À ce soir!

Comment faire un million de dollars?

Outre la loterie, un hĂ©ritage d’un riche oncle obscur ou de dĂ©couvrir des sacs d’argents dans les murs de sa maison, comment fait-on pour faire un million de dollars? La littĂ©rature sur le sujet est abondante sur le Web. Plusieurs vendent du rĂȘve, certaines sont pleines de bon sens. Par exemple, un parle d’économiser pour la retraite. Économiser? De nos jours, si c’est Ă  crĂ©dit, ça se fait bien, mais sinon? Voici quelques mĂ©thodes :

Le bas de laine

Le truc est simple : Un bas de laine dans lequel on met 55$ par jour pendant 50 ans. Ça donnera 1 003 750 en valeur actuelle. Probablement que dans 50 ans, ça ne vaudra pas grand-chose, mais c’est un million quand mĂȘme.

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Pourquoi les couples dorment-ils dans le mĂȘme lit?

Il y a de ces trucs que l’on fait dans la vie sans trop se poser de question. Mais lorsqu’on commence Ă  se poser des questions, on frappe souvent un mur de rĂ©sistance. Comme quoi brasser ce qui « marche de mĂȘme »  n’est pas toujours une bonne idĂ©e.

L’exemple du lit double

Perso, je n’aime pas vraiment dormir Ă  deux dans un lit. À moins que le lit soit un double king format XXL+ surdimensionnĂ©. C’est comme ça. Je bouge et je prends de la place. À deux dans le lit, on a moins de place que dans un lit simple. C’est un peu l’équivalent d’un sac de couchage en camping, mais Ă  l’annĂ©e longue.

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Combien d’heures doit travailler un entrepreneur?

C’est classique. Vous voulez vous lancer en affaires, mais vous ne voulez pas bousculer votre routine de 35 heures par semaine dans votre confortable cubicule au gouvernement? Est-ce possible de dĂ©marrer une entreprise tout en gardant sa famille et en se rappelant du nom de ses enfants? Peut-on devenir riche en travaillant quatre heures par semaine?

Le succĂšs passe par le travail

À part quelques rares chanceux qui Ă©taient au bon endroit au bon moment, ceux qui ont du succĂšs travaillent trĂšs fort. Plus fort que la moyenne. Peu importe le domaine, que ça soit en affaires, Ă  l’école ou dans les sports. Maintenant, combien d’heures devrez-vous mettre?
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Click Contact, un projet (trop) ambitieux?

Une startup de QuĂ©bec vient de lancer un nouveau rĂ©seau social Web 2.0 : Click Contact. KossĂ© ça? C’est un genre de Facebook / site de rencontres / petites annonces mĂ©langĂ©es. Si je comprends bien, contrairement Ă  Facebook oĂč on est en contact avec ceux que l’on connaĂźt, sur Click Contact on entre en contacts avec des inconnus. Son marchĂ©? Mondial. Rien de moins.

Un late-mover

Bien qu’il commence Ă  ĂȘtre tard pour embarquer dans la vague des rĂ©seaux sociaux (ça date de 2004, une Ă©ternitĂ© quoi!), ça n’empĂȘche pas qu’un nouveau produit peut percer et rĂ©ussir. Google a rĂ©ussi plusieurs annĂ©es aprĂšs Yahoo! et d’autres outils de recherche.

Le défi

Peu importe si j’aime l’idĂ©e ou non, ça ne changera rien au dĂ©fi qui attend Click Contact : La masse critique. C’est le principe du tĂ©lĂ©phone. Personne n’achĂšte de tĂ©lĂ©phone parce que personne n’a de tĂ©lĂ©phone. Maintenant tout le monde achĂšte un tĂ©lĂ©phone parce que tout le monde a un tĂ©lĂ©phone. Comme tout le monde est sur Facebook parce que tout le monde est sur Facebook. Malheureusement, cĂŽtĂ© rĂ©ussite, il y a peu d’appelĂ©s et encore moins d’élus.

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Football, fans et gros pognon

L’automne sonne le retour du football et des veuves du dimanche. J’adore le football. Mes potes aussi et on s’amuse Ă  chaque annĂ©e avec un pool. Celui de Yahoo! entre autres. Pourquoi? Parce qu’il est simple et complet. On y retrouve tout l’info Ă  jour, des tonnes de stats, des nouvelles, des articles, d’experts, etc. Bref, un must.

Un coût de démarrage astronomique

Tout ça doit coĂ»ter un bras et une jambe. Impossible de dĂ©marrer un tel projet dans son sous-sol. C’est trop complexe et le volume d’info trop grand. En plus que ça doit prendre des partenariats avec la NFL et les entreprises qui gĂšrent les statistiques
 Comment payer pour tout ça?

L’abonnement pro

L’inscription est gratuite et le jeu aussi. Mais Yahoo! utilise le modĂšle freemium, c’est-Ă -dire qu’on peut jouer avec une version gratuite, mais payer pour des trucs supplĂ©mentaires. Comme des stats en temps rĂ©el, des updates Ă  la seconde, etc. Il nous en coĂ»tait environ 100$ l’annĂ©e derniĂšre pour notre groupe (10-12 personnes). Le prix Ă  baissĂ© Ă  30$ cette annĂ©e. Ce qui laisse croire Ă  l’augmentation du nombre d’abonnĂ©s payants.

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Quel salaire valez-vous?

En cette pĂ©riode de recrutement intensif, on un passe bon nombre d’entrevues. Et qui dit entrevue, dit attentes salariales de part et d’autre. En effet, il y a de quoi autour du salaire. C’est littĂ©ralement la couille dans la soupe. C’est aussi amusant que de casser la nuit de noces pour parler du testament, de la sĂ©paration des biens et de qui gardera le chien. Bref, la totale quoi.

Le salaire et le malaise

Le sujet du salaire est le moment d’une entrevue oĂč le malaise s’installe. D’un cĂŽtĂ©, c’est souvent la gĂȘne, de l’autre c’est la rĂ©action face Ă  un salaire dĂ©mesurĂ©. Personne ne veut se commettre de crainte de pas demander suffisament ou pour ne pas trop offrir.

Quel salaire vaut-on au juste?

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Gérer comme Fred Caillou

Les gens de mon Ăąge (merde, ça sonne vieux ça) se rappelleront des Pierrafeu et de notre cher ami Fred Caillou. Si je ne me rappelle pas trop de toutes les Ă©missions, un passage m’a marquĂ©: Celui oĂč Fred Caillou gĂšre l’entreprise de son sosie. Celui-ci avait tout compris de la gestion et avait enseignĂ© Ă  Fred comment prendre de bonnes dĂ©cisions :

« Tu vas voir, c’est facile. Tu n’as qu’à dire  « C’est le bĂ©bĂ© de qui? », « Quel pourcentage? » et « Je vote pour ça ». »

VoilĂ , pas besoin d’en savoir plus pour prendre de bonnes dĂ©cisions. Et ça m’a marquĂ©. Depuis ce temps, je prends des dĂ©cisions selon les mĂȘmes principes.

Débile?

Non pas du tout! Ce que le sosie de Fred Caillou ne dit pas, c’est qu’il est entourĂ© de gens plus compĂ©tent que lui en qui il a totalement confiance. Alors si ces personnes croient que c’est la bonne dĂ©cision, pourquoi en douter? Ne reste plus qu’à faire la partie de son boulot et dire :

– C’est le bĂ©bĂ© de qui?
– Quel pourcentage?
– Je vote pour ça.

Bref, c’est quand mĂȘme dĂ©plorable que pendant toutes mes Ă©tudes au MBA, nous n’avons pas appris le gros bon sens en Ă©coutant des reprises des Pierrafeu. Qui a dit que c’était compliquĂ© la gestion et les dĂ©cisions?

Et si les gros se mettaient ensemble pour du contenu payant?

J’ai eu une brĂšve discussion avec le collĂšgue Thierry sur les contenus payants. Il Ă©tait question d’un groupe au Royaume Uni et de LibĂ©ration qui allaient rendre tout leur contenu payant. Je me suis dis « hĂ© ben, c’est peut-ĂȘtre ça le truc ».

En effet, si un gros comme le Wall Street Journal rend l’accĂšs Ă  son contenu payant, il doit miser sur sa notoriĂ©tĂ© pour gagner le pari. Surtout face Ă  la concurrence gratuite. Mais si une majoritĂ© des gros mĂ©dias se regroupent pour passer du modĂšle gratuit au modĂšle payant alors lĂ , c’est plus simple, non?

Pourquoi payer pour du contenu?

En fait, la question devrait ĂȘtre « pourquoi ne paie-t-on plus pour le contenu? » puisqu’on a toujours payĂ© pour le contenu Ă©crit. Ou presque. Internet a rendu le gratuit omniprĂ©sent. Si c’est une bonne chose pour certaine affaires, ça l’est moins pour d’autre. Comme pour le contenu de qualitĂ© qui demande temps et ressources. Une enquĂȘte journalistique par exemple. Le contenu de qualitĂ© a une valeur. Est-ce que ça vaut plus qu’une campagne de pub vendu au CPM? Sans aucun doute.

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