Je pense que ma grande naïveté est un solide plus dans ma façon de voir l’entreprenariat. En effet, j’ai cette forte tendance à ne pas me soucier de ce qui pourrait arriver. Je dis « pourrait » parce que naïf ne veut pas dire imbécile.
Si je conduis mon auto dans un mur de béton, de sérieux problèmes VONT arriver. Mais si je conduis mon auto sur une route qui n’est pas sur Google Maps, des problèmes, tout comme des surprises, POURRAIENT arriver.
À l’opposé du spectre, ceux qui essaient de tout planifier et tout prévoir. Ça a évidemment du bon de savoir ce qui va se produire, mais ça peut aussi causer de l’immobilisme, des réunions inutiles et des comités superflus (on voit ça souvent dans les grands projets de nos jours).
Pire, a tout vouloir prévoir, on devient parano quand on ne contrôle pas toutes les variables. Les entreprises qui voulaient contrôler les messages sur les réseaux sociaux l’ont vite réalisé.
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