Les caractéristiques d’un projet Web de rêve

Des fois, je me demande si je fais la différence entre le réel et le rêve éveillé. Je fais des recherches depuis un moment sur mon prochain coup fumant. Pour guider mes recherches, je me suis mis quelques balises que voici.

Pas de masse critique

La facteur d’échec numéro 1 dans beaucoup de projets Web, c’est la masse critique. Sans masse critique, le site ne lève pas. Ça prend du monde pour attirer du monde. Ça coûte cher. Essayez de lancer un Facebook demain pour voir. Donc pas de masse critique dans mon projet.

Des revenus dès le premier jour

Pas de revenus, pas de salaire. J’ai une famille à nourrir et une maison à payer. Ça prend des revenus rapidement. Les projets qui ont du financement et qui ne font pas un rond après 1 an, très peu pour moi. Ça goûte trop la bulle des années 2000. Donc du pognon rapidement.

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En affaires comme dans la cuisine

Étant amateur de bonnes bouffes et d’affaires, je ne peux m’empêcher de faire un lien entre les occasions d’affaires et nouveau livre de François Chartier : Papilles et molécules.

De kossé?

Oui, oui, il y a un lien évident : S’il y a une harmonie qui permet aux aliments d’être savoureux lorsqu’ils sont mélangés ensembles (ou l’inverse dans un mauvais mélange), c’est le même principe en affaires.

Dans les deux cas, le défi est de créer quelque chose de nouveau. Avec la méthode de François Chartier, je comprends que n’importe quel cuisiner en herbe comme moi pourrait inventer des recettes. Et pas seulement des recettes, mais des recettes mangeables!

En affaires?

Dans le business, c’est la même chose. Il faut savoir faire les bons mélanges pour créer de la valeur. Le mix marketing est un bon exemple. Si on dose bien les 4 P (prix, place, promotion et produit), on a une opportunité d’affaires.

Créer du business comme créer une recette

C’est peut-être un trop plein d’imagination débordante, mais à l’instar de l’approche scientifique de François Chartier pour créer des harmonies entre les aliments, je pense qu’il est possible de créer des occasions d’affaires par une approche structurée et méthodique. Un peu de marketing par ici, un peu de besoins là, un soupçon de modèle d’affaires et hop, on est en business.

Bref, il me semble que je passerais bien mes journées à créer des entreprises autant que de créer des recettes. Et puis si les livres de recettes se vendent très bien, pourquoi pas des livres d’opportunités d’affaires?

Réflexions en vrac 2.0

Même si je suis passablement occupé ces temps-ci, ce n’est pas une raison pour abandonner le blogue. Quitte à approfondir un sujet, allons-y de 3 brèves réflexions.

Ma fête

C’était ma fête hier. Comme bien des gens le jour de leur fête, mon mur Facebook a été plutôt agité avec tout plein de vœux d’anniversaire. Est-ce que la journée d’anniversaire est une bonne occasion de faire un ménage Facebook? Dans un contexte où c’est un réseau « d’amis », devront-on flusher ceux qui ne souhaite pas bonne fête? Ou encore ceux à qui on n’a pas envie de souhaiter bonne fête le jour de leur anniversaire?

Tweeps

Sans mettre Twitter au recyclage, je le délaisse depuis un moment. Je trouve ça difficile de garder une orientation professionnelle et utile. Je veux bien croire qu’il faut parler autre chose que du boulot pour bâtir des relations, mais quand on est rendu à se lever le matin et dire des « bonjour tweeps » ou « ‘morning tweetville », j’y perds de l’intérêt. Pourquoi ne pas aller au centre d’achat crier quelques « bonjour » tant qu’à y être?  Du virtuel qui devient trop personnel, pas sûr… Ça me rappelle de plus en plus les salles de chat IRC où je perdais beaucoup de temps en 1997.

NO expert

Je suis ce que certains appellent un expert dans mon domaine. Perso, ça me gosse d’être un expert. C’est difficile, pas nécessairement payant et trop souvent, c’est ardu de distinguer l’expert de l’imposteur. Et sur le Web, les imposteurs abondent. Je préfèrerais être le gars qui sait pourquoi plutôt que celui qui sait comment. Avez-vous déjà remarqué que les plus futés en affaires ne sont pas ceux qui savent comment, mais ceux qui savent pourquoi et qui connaissent le gars qui sait comment?

Jouer à Pac-man sur Google

Google nous a habitué depuis longtemps à ses logos commémoratifs, les fameux Doodles. Aujourd’hui, c’est la première fois que j’en vois un interactif à ce point! On peut jouer à Pacman. Il suffit de cliquer « insert coin » (vous aurez compris l’analogie avec les arcades). Et il y a une bonne équipe de design derrière ces logos. Qui a les moyens de se payer 6 personnes pour dessiner des logos chaque jour?

J’adore cette attitude. Être une des plus grosses shop Web au monde et quand même se permettre des trucs rigolos du genre.

Merci BP pour la découverte!

Quand c’est trop cliché

Avez-vous la publicité TV de Rogers montrant une femme en robe qui se pense un peu trop urbaine? Je n’ai pas trouvé la publicité pour la montrer. Trop nulle sans doute. Personne ne voit d’intérêt à la mettre sur YouTube. Dans le genre cliché, on ne peut pas faire pire.

Tant qu’à être branché, aussi bien l’être jusqu’au bout des ongles

La pub raconte la journée typique d’une femme qui passe ses journées dans un taxi avec son laptop. Une genre de Sophie Paquin comme on en connaît tous 2-3. On l’entend faire la narration : « Quand je vais voir mes amis sur Facebook », « un peu de blogue par ci par là », « entre deux tweets » et « quand je fais du magasinage en ligne ». Drette comme ça. Cru de même. Comme si c’était le normal de ce qui a de plus ordinaire.

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Comment trouver son idée de startup

Appelez moi un hyperactif des startups et ça ne serait pas totalement faux. En effet, je suis continuellement en train de penser à mon prochain coup fumant. Trouver la prochaine idée qui va me rapporter un max de pognon. Le problème, c’est que c’est plutôt difficile. Pour 100 idées, peut-être pas une seule verra le jour.

Où trouver les idées de startup?

Les idées pour démarrer un projet d’affaires sont partout. Je suis souvent impressionné par ces gens qui trouvent des moyens de faire du fric à partir de rien (Lire ce billet avec une vidéo très inspirante). Pouvoir saisir les opportunités demande une très bonne ouverture d’esprit. Ceux qui voyagent beaucoup ont souvent cette facilité.

Les idées organiques

La principale source d’idées provient de nos propres besoins. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. Les exemples sont nombreux. Bill Gates a créé le Basic pour lui faciliter la tâche de programmation. Mark Zuckerberg a créé Facebook pour améliorer le répertoire d’étudiants de son université. L’aspirateur, les essuis-glace intermittent et Google ont tous été créé pour répondre au besoin de leur inventeur. Posez-vous la question : Qu’est-ce que vous faites qui pourrait être optimisé avec les moyens d’aujourd’hui?

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J’aime le piton « like »

Je suis surpris du « nouveau » mode « like » de Facebook. Ce n’est rien de nouveau, c’est exactement la même chose que les fans. La petite différence? Avant, nous devions cliquer sur « become a fan » et maintenant, on clique sur le piton « like ».

Deux approches, deux résultats

Ce n’est nullement scientifique, seulement une impression, mais si les actions « devenir un fan » étaient plutôt limitées auparavant, je remarque des centaines de « j’aime » à tous les jours depuis le changement. Pourtant, c’est la même chose dans le sens que le résultat est le même, non?

Tout est dans la façon de le dire?

Est-ce que le mot « fan » était trop, disons exagéré? Je ne suis pas fan de telle ou telle groupe, compagnie ou produit. Mais ça n’empêche pas que je puisse les « aimer ». Ça diminue d’un cran une certaine réserve. Moi-même je l’utilise beaucoup. Je vois quelque chose qui me plait? Je clique « j’aime » alors que je ne serais probablement pas devenu « fan ».

Bref, j’aime bien cette nouvelle approche et je pense que ça deviendra très populaire. Je viens de l’intégrer à mon blogue pour voir. Si c’est concluant, peut-être bien que Mark Zuckerberg gagnera son pari et chauffera bientôt les fesses de Google sur son propre terrain. Tout ça avec un simplissime p’tit piton « Like »… faut le faire!

Riche en données, pauvre en information

Toutes les entreprises sérieuses dans leurs affaires Web ont installé un outil de mesure d’audience Web. Au minimum, on veut savoir le nombre de visiteurs qui passent nous voir, non? Mais pour le reste, que faites-vous avec les centaines de rapports, de croisements et de segmentations que l’on peut faire avec toutes ces données? Sans parler des données personnalisées qu’on peut ajouter dans le lot.

Riche en données

Vous êtes vous arrêté pour faire l’inventaire de tout ce qu’on trouve dans un outil de mesure d’audience? C’est phénoménal. Multiplions ça par les croisements et segmentations que l’on peut faire et ça donne des rapports à l’infini. En veux-tu des données? En v’là.

Mais alors pourquoi une entreprise qui a toutes les données voulues et imaginables ne fait rien avec?

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Web analytique : Il y a le quoi, mais aussi le combien et le pourquoi

Les entreprises manquent beaucoup d’intérêt pour le Web analytique. Pourtant, ce n’est pas parce qu’ils manquent de données. Avec tous les outils et les sources d’informations, il faut avoir les yeux fermés pour ne pas voir les possibilités.

Le problème du quoi

Le « quoi » dans le Web analytique, c’est une panoplie de faits. Il y a eu 100 visites. Il y a eu 500 pages vues. Les pages les plus vues sont A, B et C. Etc. Ça dit quelque chose, mais ça ne raconte rien d’intéressant. Comme dirait mon père « J’entends ce que tu dis, mais je ne comprends pas ».

Des rapports et encore des rapports

Qu’on prenne n’importe quel outil de mesure d’audience Web, par exemple Google Analytics, on a des dizaines de rapports. Ces rapports sont tous des « quoi ». En soi ça ne dit rien de concret. Le gestionnaire n’y voit aucun lien avec ses préoccupations.

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Quel est votre potentiel de croissance?

Vous êtes vous déjà demandé comment vous allez faire votre premier million? Comment les entrepreneurs à succès s’y prennent pour bâtir un max de valeur en un rien de temps sans se tuer au boulot? Chacun a sa façon de voir la croissance de ses revenus et le lien est étroit entre cette vision et la croissance.

Le salarié

Pour un salarié typique, sa valeur provient de ses talents et connaissances. Son potentiel de croissance peut difficilement passer par une augmentation du nombre d’heures travaillées étant donné la limite de 168 heures par semaine. Il est aussi bien d’augmenter son taux horaire pour aspirer à mieux. La formation et les responsabilités sont généralement les meilleurs vecteurs de croissance. Mais ça reste très linéaire comme croissance.

Les p’tites boîtes et les travailleurs autonomes

Sauf exception, les p’tites boîtes et les travailleurs autonomes qui font des salaires de fou sont rares. Ils peuvent bien gagner leur vie dans un créneau où ils excellent, mais comme l’employé, ils sont limités par le nombre d’heures qu’ils peuvent facturer. Pour faire plus, il faut facturer plus d’heures, donc plus de personnel, plus de gestion et plus de problèmes.

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