Pourquoi accepter des inconnus sur Facebook?

Deux billets de Michelle Blanc (ici et lĂ ) sur pourquoi on doit accepter des parfaits inconnus comme « ami » dans notre compte Facebook me titillent. Je comprends ce qu’elle dit, mais ça ne change pas : J’ai beaucoup de misĂšre Ă  accepter des inconnus (le type random dude) dans mon rĂ©seau de contact Facebook (cf.: Facebook, ça reste superficiel et Classification des amis Facebook).

Et ici, je ne fais pas le procĂšs du rĂ©seautage social. Le Web avec les rĂ©seaux sociaux permettent de crĂ©er et d’entretenir des contacts comme je ne l’aurais pas fais autrement. Le problĂšme (mon problĂšme du moins!), c’est la frontiĂšre entre le personnel et le professionnel.

À la base (et Ă  mon avis), Facebook, c’est personnel et c’est l’endroit de chums pour mettre des photos de nous tout nu en train de danser la polka avec un ukulele lors d’un party mĂ©morable avec des bons potes. C’est l’endroit pour dire dans son statut des trucs qu’un ami ne sera pas renversĂ© d’entendre. 

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Nuouz a vendre pour 2 M$

Tiens tiens, ça faisait un bail que je n’avais pas entendu d’actualitĂ© sur les digg-likes quand j’ai vu cet article sur Techcrunch. Deux digg-like de niche (ici et lĂ ) ont Ă©tĂ© vendus pour un total de 3 M$. Pas mal pour des sites d’Ă  peine 1 an. Ce sont deux sites conçus par un couple sans grands moyens. Aucun financement. Zero. Niet. Nada. Ça change de l’ordinaire des startups Web amĂ©ricaines qui lĂšvent des millions et qui finissent aux poubelles


Niche ou pas, ces sites récoltent leur lot de trafic comme on le voit ici:

Par contre, il me semble que compte tenu de ce trafic, il aurait Ă©tĂ© possible de gĂ©nĂ©rer des revenus trĂšs intĂ©ressants et vendre plus cher. M’enfin, probablement que je ne dirais pas non Ă  3 M$ et que je ne grafignerais pas sur des dĂ©tails


C’est une bonne nouvelle pour tous les digg-like, incluant notre site Nuouz. Quelqu’un est preneur pour Nuouz à un prix d’ami de 2M$? 😉

Blogging d’Ă©tĂ©

C’est l’étĂ© et chez Percute Technologies, c’est l’horaire d’étĂ©. Ça veut dire qu’on travaille fort, trĂšs fort mĂȘme, mais quand il pleut. Quand il fait beau, on travaille aussi, mais juste moins longtemps. Tout ça entrecoupĂ© d’un un brainstorming stratĂ©gique en vĂ©lo de montagne ou de route et/ou un sĂ©minaire stratĂ©gique sur une terrasse ensoleillĂ©e et/ou la siesta stratĂ©gique de l’aprĂšs midi.

Vraiment, quand vient le temps du ressourcement stratégique, on est intransigeant et on donne notre 110%. Notez que le mot stratégique est trÚs important dans le contexte.

Ceci dit, ça aura un impact sur mon activitĂ© de blogueur. Comme vous l’avez remarquĂ© depuis les 2-3 derniĂšres semaines, c’est au ralenti sur ce blogue. Sur tous les blogues d’ailleurs. Heureusement qu’il y a ces gens d’ACN qui squattent mon blogue pour assurer un trafic rĂ©gulier. Alors bon, ça ne sert Ă  rien de se creuser le coco Ă  Ă©crire des textes qui ne seront pas lus parce que tout le monde se balance du e-business quand il fait beau.

Bref, ça sera du blogging en mode chilling time, i.e. avec des sujets pas trop difficiles pour notre cerveau en manque de margarita et/ou de biÚre légÚre trÚs froide. Tout ça à une fréquence de gars en vacances.

Trafic Web, Google et les Ɠufs dans le mĂȘme panier

Si Google changeait son algorithme ou bien qu’il avait une dent contre moi et mes sites puis dĂ©cidait de me foutre dans le bac Ă  sable ou pire, Ă  la poubelle, je perdrais plus de 50% de mon trafic, tous sites confondus. Par consĂ©quent, je perdrais fort probablement 50% des revenus gĂ©nĂ©rĂ©s par ces sites.

D’un point de vue webmaster, Google a du bon puisqu’il apporte beaucoup de trafic qu’on n’aurait pas autrement. Les autres outils de recherche gĂ©nĂšrent au total, environ 2% du trafic (merde, ils foutent quoi?).

Par contre, ça a du mauvais quand on n’aime pas mettre tous ses Ɠufs dans le mĂȘme panier. Mes sites ne sont pas crĂ©Ă©s en fonction de Google, mais finissent par ĂȘtre ingĂ©rer par le monstre et les visiteurs arrivent par camion depuis et ce, de façon constante.

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Ces mots clichés qui ne veulent rien dire

« Jeune entreprise dynamique recherche une personne talentueuse aimant les défis »

Est-ce seulement moi qui devient grincheux ou il y a partout une utilisation de mots qui n’ajoutent pas vraiment de valeur au message?

Ça fait un bon moment que je remarque des messages qui comportent des mots, destinĂ©s Ă  donner un impact ou Ă  le renforcer, mais qui donnent plutĂŽt dans le clichĂ©.

Par exemple, avoir une solide expĂ©rience dans tel domaine versus avoir seulement de l’expĂ©rience. Perso, je prĂ©fĂšre dire de l’expĂ©rience concrĂšte plutĂŽt que de dire « StĂ©phane a acquis une solide expĂ©rience en TI au fil d’emplois passionnants et enrichissants ». De un, qu’est-ce qu’une « solide » expĂ©rience? De deux, si on ne prĂ©cise pas que les emplois sont passionnants et enrichissants, est-ce que ça veut dire qu’on accepte des emplois cul-de-sac moribonds?

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La pire invention du Web

Parmi le truck de gadgets et kossins inutiles qui fourmillent sur le Web, lequel serait le pire de tous? Le plus inutile tout en Ă©tant le plus irritant? Selon moi, c’est Snap Shot qui remporte la palme.

Qu’est-ce que Snap Shot?

C’est ce pop-up irritant, et qui fait presque planter ma machine, qui ouvre quand on survole un lien sur un site Web quelconque comme ceci:

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Désastre planétaire

Facebook est down depuis au moins 10 minutes. Ça doit ĂȘtre terrible pour beaucoup de gens… Heureusement, il sera sĂ»rement de retour bientĂŽt. À moins que Facebook soit un nouveau Capazoo? Sinon, c’est peut-ĂȘtre l’occasion de dĂ©crocher, sortir dehors et rĂ©aliser qu’il y a autre chose que Facebook dans la vie?