ACN et Steph: 1000 commentaires et ça continue

Mon billet sur ACN « Faire de l’argent avec ACN? Non merci. » est toujours aussi populaire, même près de deux ans après sa publication. Le plateau des 1000 commentaires a été atteint cette semaine. C’est énorme quand on pense que 30 commentaires est beaucoup sur un blogue comme le mien. Les autres billets sont pas pire aussi :

Devenir riche avec ACN et détester Steph avec 429 commentaires
20% des millionnaires viennent du MLM (multi-level marketing)? avec 20 commentaires
Comment je fais beaucoup d’argent avec ACN, Amway ou Primerica avec 15 commentaires
Est-ce qu’un blogueur peut faire perdre 300 000$ à une entreprise? avec 12 commentaires

Ce billet sur ACN m’a forcé à revoir certains trucs comme la mise en page des commentaires et les notifications par email. De plus, ce billet m’a apporté un tas d’amis qui se sont fait un plaisir de me chanter des bêtises et/ou de me raconter leur vie. Les points communs de ces personnes sont la richesse (yeah, right…) et l’incapacité d’écrire deux mots de suite sans faire de faute. Tellement que j’en arrive à croire que plus ils font d’argent (supposément), moins ils sont éduqués et plus ils ont du temps à perdre sur les blogues. Sans compter que ces millionnaires du multi-level marketing (ouais, d’accord…) ont souvent moins de 25 ans. Nous savons tous que la jeunesse, le peu d’éducation, le MLM et la perte de temps sont les ingrédients de la richesse, non?

Bref, merci à ACN et ses représentants (au fait, est-ce qu’ils ont aussi le statut de vendeur itinérant comme dans Amway?) pour leur présence assidue sur mon blogue. Ils cultivent mon bon référencement dans Google et m’aide à payer le loyer à chaque mois. Au plaisir de lire vos commentaires pour de nombreuses années encore!

De la Molson Dry, du papier-bulles et un blogueur

–    Le livreur « Bonjour, un colis pour Stéphane Guérin »
–    Stéphane Guérin « Yé, ma bière est arrivée! »

Ça ne prend pas grand-chose pour rendre une blogueur heureux : Un peu de bière et du papier-bulles. C’est ce que j’ai reçu hier. En effet, les gens des relations publiques pour Molson Dry m’offraient une bière dans l’espoir que je parle de leur campagne des Pros du Party.

Deux choses

Tout d’abord, ce que je trouve drôle et d’intérêt, c’est vraiment de recevoir de la bière par la poste, enveloppée dans du papier bulles. J’étais heureux comme un gamin qui reçoit ses lunettes X-Ray pour voir à travers le linge des filles. Le seul problème, c’est qu’elle est livrée chaude (Non, mais!).

L’autre, c’est que j’ai essayé leur fameuse application à télécharger sur leur site. En passant la bière devant la webcam, ça génère des animations 3D. Celles-ci ne m’ont pas impressionné comme tel, mais j’aime bien le genre de truc de reconnaissance visuelle. Ce domaine n’est qu’à ses débuts. Les téléphones intelligents et l’internet omniprésent feront que ces applications seront de plus en plus pertinentes et populaires.

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Ironman, startup et coût d’opportunité

Le pote à Chris a fait (et terminé) son premier demi Ironman en fin de semaine dernière. Peu importe la position à l’arrivée, terminer cette course d’endurance est un exploit en soi. Cette épreuve est ce pourquoi il s’est entrainé pendant de longues heures dans les derniers mois. J’aimerais avoir le temps d’en faire autant!

Mais je ne peux pas. Ou plutôt, je pourrais, mais mes choix sont ailleurs. J’adore m’entrainer, bouger, faire du sport. Je dévore les kilomètres autant en vélo de route que de montagne. Et l’hiver, c’est du ski de fond sans peur du lendemain, peu importe le froid.

J’adore aussi mon entreprise. Et celle-ci, comme un bébé, demande du temps. Beaucoup de temps. Du temps qu’on ne peut pas mettre sur d’autres choses qu’on aime. C’est le coût d’opportunité.

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Calendrier SWAFF 2009-2010

Les vacances sont finies, c’est le temps de reprendre les Soirées Web & Affaires, les fameuses SWAFF! Contrairement à l’année passée où le deuxième jeudi du mois causait un conflit d’horaire avec les gens de l’AQIII, nous les organisons le dernier jeudi du mois. Les dates sont prévues plusieurs mois à l’avance alors aucune excuse n’est valable pour rater ces rendez-vous jusqu’en mai 2010.

Calendrier des soirées 2009-2010

» 24 septembre 2009
» 29 octobre 2009
» 26 novembre 2009
» 25 février 2010
» 25 mars 2010
» 29 avril 2010
» 27 mai 2010

SWAFF sur facebook

Pas encore membre du groupe Facebook? Qu’attendez-vous pour rejoindre les 228 personnes du groupe SWAFF?

SWAFF c’est quoi?

Le but des soirées Web & Affaires est de jaser Web et business lors d’un 5 à 7 dans une ambiance informelle avec des passionnés et curieux. C’est gratuit, vous ne payez que vos consommations.

SWAFF c’est pour qui?

Ça s’adresse à quiconque s’intéresse de près ou de loin aux affaires électroniques, c’est-à-dire à faire des affaires avec Internet. Du néophyte à l’expert, employé, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!

SWAFF c’est où?

Chez Mo

L’art de faire des erreurs

Billet peu commun chez Provokat qui s’intitule « On s’est trompé ». Peu commun dans le sens qu’une entreprise, comme une personne, est généralement meilleure à trouver des excuses qu’à reconnaitre ses erreurs. Publiquement en plus. C’est fort!

Question d’attitude

J’aime ce genre d’attitude. Je m’efforce d’avoir une attitude positive face aux erreurs depuis longtemps. Je me rappelle d’une game de football par un temps de merde (bouette, vent, froid et grosse pluie) où le score était 0-0 tout le match. Les offensives des deux équipes n’étaient pas capables d’avancer. On a finalement perdu le match parce que j’ai raté mon botté (en fait, je l’ai réussi, je l’ai seulement botté dans la face d’un joueur adverse) ce qui a résulté d’un touché et des uniques points du match. Bref, une défaite et c’est moi le responsable. C’est dur.

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La cravate, ça sert à quoi encore?

Un pote qui a eu une promotion dernièrement me dit qu’il met maintenant la cravate quotidiennement. D’une grimace je lui réponds que c’est malheureux d’être ainsi traité. Évidemment s’en suit un court débat sur le port de la cravate.

L’histoire de la cravate

La cravate, comme les bijoux, les chapeaux ou autres kossins de mode sont des objets servant à afficher un statut social ou une appartenance à un groupe. Ou bien, comme j’aime le dire, ça sert à masquer son incompétence (citation de quelqu’un que je ne me rappelle plus).

Selon Wikipédia, les origines de la cravate remontent au XIVe siècle, mais c’est à partir des années 1920 qu’on aura la cravate que l’on connaît aujourd’hui.

Formel, réglementaire, conforme

De nos jours, on associe la cravate avec le sérieux, le professionnalisme. Mais je me rappelle très bien mon grand père se mettre en cravate, ce qu’il appellait « l’habit du dimanche ». En effet, la classe ouvrière d’autrefois travaillait en jeans et s’habillait en cravate la fin de semaine. Aujourd’hui, c’est l’inverse.

Et aujourd’hui, la cravate est souvent associée avec des mots comme formel ou réglementaire. Conforme au code vestimentaire en vigueur dans l’entreprise. Des mots pour encourager la créativité quoi!

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Ne pas confondre hobby et business

Pendant mes (trop courtes) vacances, j’ai pu jaser entreprenariat à gauche et à droite tout en observant des commerces dans les régions. Puis quelque fois, je vois des gens plein de bonne volonté confondre hobby, donc un loisir ou un passe-temps, avec un véritable business.

Par exemple, quelqu’un aime fabriquer de la crème glacée et le fait avec passion. Cette personne peut en retirer quelques centaines ou milliers de dollars de revenus comme ça, à temps perdu tout en conservant son emploi régulier. Lâcher cet emploi pour se lancer dans l’aventure de la crème glacée à temps plein est une tout autre affaire. This is no pic-nic comme on dit par chez nous.

Pourquoi transformer un hobby en business?

Pour vivre un rêve, se donner un défi, réaliser quelque chose de grand à nos yeux, pour être enfin son propre patron, etc. Toutes les raisons sont bonnes pour se lancer en affaires. Ou presque. Avec le côté émotif de la chose où l’on se sent rempli de frénésie, qu’on a les yeux pétillants face au voyage qui nous attend, ça prend un côté plus pragmatique, plus réfléchi, plus rationnel : Se lancer en affaires n’est pas une histoire d’amour à l’eau de rose qui finit toujours bien.

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Problématique le monopole de Facebook et Twitter?

J’écoutais des animateurs parlé de Twitter et Facebook à la radio hier. Du coup, je me suis dis « Ben coudonc, c’est rendu mainstream ». Et en même temps, j’ai eu un flash : Est-ce que ces deux entreprises sont en situation de monopole?

Qu’est-ce qu’un monopole?

Selon notre pote Wikipedia, un monopole est, au sens strict, une situation dans laquelle un offreur
est seul à vendre un produit ou un service donné à une multitude d’acheteurs.

Pas un monopole, mais presque…

Si je me fie à cette définition, Facebook et Twitter ne sont pas des monpoles puisque des alternatives existent. Mais Wikipedia continue en disant « Par abus de langage, le terme de monopole sert aussi à décrire une situation proche de la définition précédente, dans laquelle une entreprise domine largement un marché où la concurrence existe, mais reste marginale. ». Ha! Voilà qui est intéressant!

Donc Facebook et Twitter ne sont pas des monpoles comme la SAQ est la seule autorisée à vendre de l’alcool au Québec. Mais c’est un monopole dans le sens où ses concurrents sont marginaux et loin derrière.

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Le service, ça n’a pas de prix

Je suis de bonne humeur ce matin. Plus que d’habitude. En effet, j’ai reçu une bonne dose d’excellent service à la clientèle. C’est un ingrédient essentiel avec les fibres pour se sentir léger avec la tête claire.

Un oasis dans le désert aride

Malgré tout le bordel dans mon projet d’aménagement paysager (ici et ici) où tous ceux que j’ai rencontré m’ont déçu, je suis quand même tombé sur un élément facilitateur : Centres Jardins Paradis. Dès que j’ai mis les pieds là, le ciel obscur s’est dégagé, les oiseaux se sont mis à chanter puis nous avons pu (enfin) entreprendre notre foutu terrassement qui était embourbé depuis des mois.

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