Le Web analytique chirurgical

Au resto avec le pote Phil hier, dans une discussion sur le Web analytique, je lui ai lancé « Tsé, nous on fait de l’analytique chirurgical ». Si cette expression lancée a la blague nous a fait rire, elle me semble pleine de sens avec du recul.

En effet, j’exposais une pratique courante dans le monde du service d’analyse Web. Celle-ci consiste a fournir des rapports interminables au nombre de pages infini, de chiffres de tout genre, de tableaux, diagrammes, textes, analyses, résumés, synthèses, paragraphes courts, paragraphes longs, etc. Analytique chirurgicale par opposition à analytique de boucherie.

BORING

Comme le dit le pote Homer J. Simpson en français : C’EST PLATE! Moi le premier, je déteste lire un rapport trop long. Et trop long, c’est plus de 3 pages. Quand je regarde ce qui se fait par la compétition et ce que nous faisions avant, je constate qu’il y a place à l’amélioration.

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De retour dans la soupe ACN

Hé bien. Là, je n’y comprends rien. Environ 2 mois après être disparu des résultats de recherche sur le mot clé ACN, mot clé qui m’amène un tas de visiteurs indésirables, voilà que Steph, la couille dans la soupe ACN, est de retour. Mais cette fois, Wikipédia s’est mis entre moi et ACN elle-même.

Y a-t-il un docteur SEO dans la salle?

En premier lieu, sortir si haut dans les résultats de recherche pour un mot clé unique et bien précis m’a toujours paru étrange, voir chanceux. Un réajustement éventuel pour me faire disparaître ou sortir beaucoup plus loin me semblait donc logique. Ça a quand même duré plus de 2 ans avant que ça se produise. Mais maintenant, revenir dans le peleton de tête? Je n’y comprends rien.

Comment peut-on arriver en haut, disparaître des résultats et revenir dans le top 5 en moins de 2 mois? Comment Google voit-il tout ça? C’était avant mon nouveau blogue alors ça n’a probablement pas d’incidence. Autrement, je ne vois pas.

Des idées?

Je veux un iPad

Ok, j’ai changé d’idée. Je pensais que c’était un joujou inutile vu que je suis un être fermé d’esprit naturellement, mais non, j’ai tort. Très tort même. Je veux un iPad.

Heureux ceux qui croient sans avoir vu

Jésus l’avait dit voilà un bon moment. Il était au courant de la sortie du iPad, mais personne ne voulait le croire. Sauf une poignée de disciples. Dont Martin Demers d’Aragosoft. Il est venu porter la bonne nouvelle hier soir au SWAFF et montrer son iPad à la plèbe dont je faisais parti. Évidemment, il a volé la vedette avec son jouet hi-tech.

Pas moyen de ne pas le remarquer. Le gadget est vraiment beau et accrocheur. Addictive même

Le truc qu’on laisse traîner à la maison

Je me disais que c’était inutile parce que je fais déjà plein de boulot / loisirs avec mon iPhone. Mais à la maison, c’est petit un peu. Et mon ordinateur compliqué à déplacer. Le iPad viendrait bien faciliter ma vie. Je vois déjà plusieurs utilités dont à côté de mon lit pour lire des livres ou sur la table à dîner pour remplacer ce foutu journal papier qui tache mes naperons.

Bref, j’étais Thomas. Je suis maintenant un apôtre du iPad. Le message est déjà passé aux hautes sphères dirigeantes de Nofolo que mon bonheur immédiat et futur est conditionnel à la réception d’un iPad. Et pronto à part ça.

SWAFF du printemps, ce soir @ MO

Je vous rappelle que la SWAFF du printemps, c’est ce soir chez Mo!

» Le groupe Facebook
» La page de l’événement sur Facebook

SWAFF c’est quoi?

Le but des soirées Web & Affaires est de jaser Web et business lors d’un 5 à 7 dans une ambiance informelle avec des passionnés et curieux. C’est gratuit, vous ne payez que vos consommations.

SWAFF c’est pour qui?

Ça s’adresse à quiconque s’intéresse de près ou de loin aux affaires électroniques, c’est-à-dire à faire des affaires avec Internet. Du néophyte à l’expert, employé, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!

À ce soir!

5 choses à ne pas faire sur les réseaux sociaux

Businessement parlant, les réseaux sociaux sont à la mode et attirent l’attention des entreprises. Mais ce n’est pas parce qu’on ne veut pas manquer le bateau qu’il faut se tirer en imbécile sur la coque et finir malaxé par les hélices. Voici 5 choses à ne pas faire pour avoir une fin heureuse.

Ne pas avoir de stratégie

Les médias sociaux sont des outils. Il faut se poser des questions pour utiliser le bon outil. En premier lieu, pourquoi voudrait-on être sur les médias sociaux, à quoi ça sert à comment puis-je les utiliser à mon avantage? Ensuite, on pourra définir des objectifs et une stratégie pour guider nos actions.

Ne pas écouter

Dans les médias sociaux, on discute à deux ou plusieurs. Si vous êtes amateur de monologues dont vous êtes le héros, optez pour la pub TV. Si vous ne voulez pas écouter ce que les autres ont à vous dire, vous finirez par vous nuire plutôt que vous aider.

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Web, budget et magie

J’ai lu un bon billet de Diane Nadeau sur combien coûte un site Web (La question qui tue: Avez-vous un budget?). Comme tout bon entrepreneur du Web, je suis confronté à ce genre de question régulièrement : Combien ça coûte être sur les Internets?

Une tondeuse à gazon ou une Porsche?

Le besoin de base est bien simple : Avoir une présence sur le Web et être trouvé facilement. Les moyens pour y arriver sont nombreux avec différents degrés de résultats. Le budget sera alors fonction des résultats voulus.

On peut vouloir un toit pour sa famille. Ça peut se traduire en une tente achetée au surplus de l’armée ou encore acheter le domaine de Pauline Marois. Ça répond au même besoin, mais avec un budget différent. On n’obtient pas un domaine par magie. Ça prend du pognon. Même chose sur le Web.

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5 trucs pour lancer un projet Web avec moins de 1000$

Je parlais dernièrement de l’importance du cash flow et du bootstrapping pour une startup, c’est-à-dire faire énormément avec très peu. Ça rejoint un de mes (nombreux) projets qui est de refaire (un jour) un autre site de rencontre. J’en ai déjà vendu 2 à des prix fort intéressants. Pourquoi pas un troisième?

LE problème des problèmes

Pour un site de rencontre comme pour n’importe quel autre projet du genre, le problème est la masse critique. C’est un flop assuré à 99% à moins de réussir à atteindre rapidement une masse critique. Des sites de rencontre, il y en a des milliers et de gros joueurs aux gros moyens occupent la place. Ça coûterait des millions prendre une petite part de marché. Rappellons-nous le flop Capazoo malgré ses 25 M$ en investissement…

Réussir sans moyen?

Pourtant, je suis convaincu qu’on peut lancer un site de classe mondiale avec 1000$ de budget, excluant vos centaines d’heures à bosser en débile. Comment? Voici cinq idées.

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The best, not the biggest

J’ai écouté un documentaire sur la compagnie Sabian hier soir. Cette compagnie fabrique des cymbales (que j’utilise fièrement depuis 20 ans!). C’est une entreprise tout de même artisanale, mais qui vend ses produits partout sur la planète. Une phrase du fondateur m’a frappée : You have to be the best, not the biggest.

The best, not the biggest?

C’est une question de valeurs principalement. A quoi ça sert d’être les plus gros si nous ne sommes pas les meilleurs? Pour certains, être les plus gros peut être un objectif de pognon, mais lorsqu’on veut changer le monde, ça passe d’abord et avant tout par être les meilleurs. Non?

Être les meilleurs comme valeur phare

Être inspiré par le fait de vouloir être le meilleur est bien différent d’être inspiré par vouloir être le plus gros. Vous je ne sais pas, mais moi, être le meilleur m’importe plus que d’être le plus fort. Surtout sur le long terme. Nos actions pour être les meilleurs sont bien différentes de celles pour être les plus gros. C’est peut être naïf, mais je crois que le meilleur aura toujours le dessus sur le plus fort, tôt ou tard.

Bref, c’est inspirant d’entendre le patron d’une compagnie mondiale toujours garder à l’esprit ce qui l’a mené aussi haut. Et surtout, ne pas dévier vers des valeurs plus proches de la nécessité du profit absolu.

Un nouveau look pour mes 4 ans!

Ben oui, ça fait déjà 4 ans. C’est fou comme le temps passe vite quand on s’amuse. Une petite refonte de mon blogue s’imposait. Merci à David, chef du design chez Nofolo, pour ce nouveau look.

Un nouveau look et une nouvelle photo. Pas de quoi faire la Une du magazine People, mais mes cheveux sont mieux arrangés je pense. On remarque une évolution certaine. On dirait même que la jouffluosité de ma face semble se maintenir à un niveau acceptable. Peut-être que sur la prochaine j’aurai une cravate? J’ai aussi pensé au nez de clown, mais je n’ai pas osé.

Merci à tous mes lecteurs. C’est cliché, mais c’est vrai que sans lecteur, ça ne donne pas le goût de bloguer longtemps. 🙂

Bloguer et casser des oeufs

Depuis que je blogue, il m’est arrivé plusieurs fois de me faire reprocher certains propos incisifs. Des fois avec raison peut-être. Comme n’importe quel media où un individu exprime une opinion, le blogue n’est pas à l’abri des critiques. Et je suis de ceux qui pensent qu’on ne fait pas de bonnes omelettes sans casser d’œufs. Mais est-ce que j’abuse des œufs?

Bloguer pour provoquer

Mon blogue, c’est mon outil de promotion et de réseautage depuis 4 ans. Et ça fonctionne très bien. Je ne blogue pas pour me faire des amis. Je blogue pour promouvoir mon domaine, débattre, échanger des idées, provoquer des réactions. Bloguer, c’est une game, voire un show. Comme n’importe quel média (Oui, oui, les médias présentent l’info pour vendre!). Et froisser des gens, involontairement ou non, fait parti de la game quand on donne son opinion.

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