Je dis souvent que ça prend des clients qui nous emmerdent royalement pour apprécier les meilleurs. S’ils nous font pas réellement ch***, ils ne sont pas assez mûrs. Ça prend des vrais emmerdeurs, ceux à qui on pense même en voyage à la plage.
Quand tu inventes un qualificatif avec son nom pour décrire les emmerdeurs, ça en est un bon.
En effet, c’est comme n’importe quoi, faut rencontrer des gens imbéciles pour mesurer la chance d’avoir les amis qu’on a.
Ou il faut goûter une biquette pour savoir reconnaître un gin plus fin (ouais, je suis un martini enthusiast).
Les clients, c’est pareil. Ils ne sont définitivement pas nés tous égaux. Certains sont sur terre que pour nous pourrir la vie.
Vraiment? Non, ils sont là dans un but purement altruiste. Ils nous enseignent à être de meilleurs entrepreneurs, à dire non et à mettre nos limites.
Même sur Internet avec une boîte 100% virtuelle, les clients emmerdeurs finissent par nous trouver. Ils sont une certitude comme la mort et les impôts.