Capazoo, ça vous dit quelque chose?

Ça fait plusieurs mois que je suis au courant du projet Capazoo. Et bien maintenant, ça semble lancĂ©. C’est peut-ĂȘtre moi qui est dans une bulle, mais je n’en ai pas entendu parlĂ©? Toujours est-il, le rĂ©seau social QuĂ©bĂ©cois est lĂ , en ligne, prĂȘt Ă  rentrer dans le gras de Facebook et compagnie.

Qu’est-ce que Capazoo? « The World’s Ultimate Social Life Networking and Entertainment Web Site ». Rien de moins! Moi, je suis le plus grand gĂ©nie de tous les temps. Tant que personne ne me confronte, c’est vrai, non? Laissons le temps nous dire si cette affirmation est fondĂ©e.

Qui est derriĂšre Capazoo? Je ne sais pas trop. C’est obscur. Mais c’est sĂ»rement des gens avec le portefeuille bien Ă©pais. DĂ©velopper pendant des mois un tel produit n’a rien Ă  voir avec le bĂ©nĂ©volat et deux types dans leur garage qui mange de la pizza froide.

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Quoi de neuf avec Pixelotto?

Tiens, tiens. Je me suis rappelĂ© ce matin que ça faisait un bon moment (en avril en fait) que j’avais pas Ă©tĂ© voir Pixelotto, ce second coup tentĂ© par le cĂ©lĂšbre type de la page Ă  un million de dollars. Et bien, ça n’a pas rĂ©ellement bougĂ©. Pas de nouvelle d’Alex Tew non plus. On dirait mĂȘme que je suis le seul Ă  en parler… Comme quoi les buzz sur le web sont bien Ă©phĂ©mĂšres.

On fait sa propre chance

Croire au destin, c’est bien. Lui donner un coup de pied, c’est mieux! J’ai toujours voulu ĂȘtre mon propre patron et ce qui me passionne, c’est de crĂ©er, lancer un truc, imaginer une nouvelle patente… Par contre, vivre d’une telle passion n’est pas Ă©vident. Il y a peu de jobs intitulĂ©s « rĂȘveurs Ă  temps plein demandĂ©s ». La seule maniĂšre d’y arriver, c’est d’ĂȘtre entrepreneur. Être entrepreneur, ça veut dire agir, passer Ă  l’action.

Quand je regarde oĂč je suis rendu Ă  mon Ăąge vĂ©nĂ©rable de 30 ans, je me demande ce qui m’a menĂ© lĂ . Il n’y a pas eu de grands Ă©clats ou des coups suffisamment intĂ©ressants pour Ă©crire un bouquin. Par contre, il y a eu beaucoup de petites actions bien insignifiantes qui, prises Ă  une Ă  une, ne sont rien pour Ă©crire Ă  sa mĂšre.

J’ai en tĂȘte un Ă©vĂ©nement particulier qui a probablement placĂ© la table pour me mener oĂč je suis. En 1997 alors que le mot web n’était pas trĂšs populaire, j’ai dĂ©cidĂ© d’envoyer des emails Ă  des entreprises pour leur offrir mes services de consultant Internet. Bien sĂ»r, je n’étais qu’un moins que rien, mais ça, je ne le savais pas.

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Flip-flop-preneur

Parmi toutes les sous-catĂ©gories d’entrepreneurs, il y en a quelques unes qui ressortent par leur attitude dĂ©contractĂ©e. Le flip-flop-preneur est le summum de l’entrepreneur relax.  Ce qui distingue cet entrepreneur d’un autre? Les flip-flops. D’oĂč le nom flip-flop-preneur.

Les flip-flops. Cet accessoire est devenu l’attribut typique du mec qui se traĂźne les pieds au sens figurĂ© et au sens propre. Le flip-flop-preneur lui, ne se traĂźne pas les pieds parce qu’il doit bosser pour rĂ©ussir. Mais contrairement Ă  l’entrepreneur accro au stress et aux longues heures de travail, il intĂšgre sa philosophie de vie dĂ©contractĂ©e au travail.

Le flip-flop-preneur sait quand travailler et il sait quand dĂ©crocher pour boire un martini. ProductivitĂ©, dĂ©passement, profit, compĂ©tition, etc. Oui, mais pas Ă  n’importe quel prix. Pas au dĂ©triment de sa vie sociale et/ou familiale. Ça doit ĂȘtre balancĂ©. L’important, c’est de bien vivre et de faire ce qu’on aime.

Les grands complets et articles superficiels pour bien paraĂźtre? On fait tout aussi bonne impression en chemise hawaĂŻenne ou t-shirt et un produit de qualitĂ© irrĂ©prochable. D’ailleurs dans le monde corporatif, il paraĂźtrait que plus on est incompĂ©tent, plus un s’habille bien! J’ai lu ça dans Founders at work


Est-ce que je suis un flip-flop-preneur? Presque. Je ne mets pas de flip-flops parce que je trouve ça profondĂ©ment affreux, anti-sexy et je dĂ©teste entendre quelqu’un se traĂźner les pieds. Par contre, aux yeux de plusieurs, je n’ai pas l’air de quelqu’un qui travaille fort. Pourtant!

Comme ils le disent dans les Simpson : We work hard. We play hard. Autrement dit, il ne faut pas oublier de s’amuser. Personnellement, quand je travaille 50 heures, c’est beaucoup. 60 heures, je fais ça quelques semaines. Lors d’une livraison par exemple. Mais faire rĂ©guliĂšrement des semaines de 70 ou 90 heures? Allons donc. Il faut ĂȘtre dĂ©bile pour travailler autant.

Contrairement Ă  l’époque oĂč j’étais consultant alors que j’étais physiquement prĂ©sent 37 heures, mais que je travaillais 5-10 heures, aujourd’hui, quand je travaille 50 heures, je travaille rĂ©ellement 50 heures. Et c’est Ă©puisant mentalement. De toute façon, passĂ© un certain point, je fais plus d’erreurs que d’exploits. Il faut donc arrĂȘter et dĂ©crocher. Pourquoi pas une sortie en vĂ©lo? Un resto ou bien un martini avec 5 olives?

Bref, on peut ĂȘtre entrepreneur et rĂ©ussir tout en ayant une attitude relaxe. Tout est question de philosophie de vie. Certains vivent pour le travail, moi je travaille pour chiller. Et vous, ĂȘtes-vous plus des bĂȘtes de travail ou des adeptes de la philosophie flip-flop?

iMinR : Du nouveau!

Quelques modifications ont Ă©tĂ© apportĂ©es Ă  notre application de web analytique iMinR. Tout d’abord, le chargement est plus doux Ă  l’Ɠil avec cette nouvelle image. Oui, oui, je sais, l’ancienne n’était pas digne de la qualitĂ© de iMinR. C’est chose du passĂ© maintenant.

Une nouvelle fonction de segmentation a Ă©tĂ© rajoutĂ©e. Elle est disponible dans la majoritĂ© des rapports. Celle-ci permet de voir les rĂ©sultats d’un rapport en fonction d’un segment particulier comme les pays, les outils de recherche ou les heures de la journĂ©e. La fonction est en mode bĂȘta, le temps de bien la rĂŽder.

 

Ensuite, comme plusieurs l’avaient suggĂ©rĂ©s, trois mĂ©triques clĂ©s on Ă©tĂ© rajoutĂ©es : Visites par jour (ou par heure), pages vues par jour et rebonds par jour. Comme les autres chiffres clĂ©s, ils sont comparĂ©s avec la pĂ©riode prĂ©cĂ©dente (pour le sommaire) ou l’ensemble du site (les rapports de base ou personnalisĂ©s).

Comme toujours, la performance est en tĂȘte des prioritĂ©s. Le dĂ©fi posĂ© par iMinR est que l’on ne sait jamais ce que l’utilisateur va demander alors c’est difficile de prĂ©voir tous les cas. Mais avec l’expĂ©rience et l’analyse de l’utilisation, on arrive Ă  gĂ©nĂ©rer des rapports complexes de plus en plus rapidement. Performance et optimisation, on connaĂźt ça!

Puis finalement, rappelons que iMinR est un outil de web mining conçu pour l’entreprise en ligne qui veut approfondir, en savoir plus sur le comportement de ses visiteurs. Bref, aller plus loin que de se contenter que des quelques mĂ©triques de base comme le nombre de visiteurs et de pages vues. Si vous avez des questions Ă  ce sujet, il me fera plaisir d’en discuter. Contactez-moi sur mon email ou bien via Percute.

C’est vendredi, jouons un peu

C’est vendredi, le patron est dans la lune et pense aux matchs de football du dimanche, profitons-en pour jouer un peu. Cette semaine, il faut dĂ©placer un vaisseau sans se casser la gueule sur les murs et obstacles. Accrocher un mur, mĂȘme de peu, ne pardonne pas. Pour compliquer les choses, le jeu se nomme « racing » comme dans course contre le temps!

» Perdre son temps avec des vaisseaux sans se casser la gueule

Yulbiz-Québec, jeudi le 27 septembre prochain

Une autre édition de Yulbiz-Québec aura lieu jeudi prochain, le 27 septembre à 19h à la Taverne Urbaine chez Mo, boul. Charest. Svp, si vous pensez venir, dites le moi que je réserve en conséquence.

Alors, blogueurs d’affaires / web entrepreneurs / geeks / VC / curieux intĂ©ressĂ©s Ă  jaser dans un esprit informel et convivial de business / techno / web / affaires Ă©lectroniques / e-marketing, etc, c’est un rendez-vous!

Voici les directions sur Google Maps

Google 411

Google vient de sortir de son carrĂ© de sable (c’est la place nommĂ©e Google Labs oĂč Google met plein de gens talentueux qui s’amusent Ă  faire n’importe pour peut-ĂȘtre un jour en faire un produit intĂ©ressant) le GOOG 411. En gros, ce service permet de localiser des services dans notre coin en appellant un seul et unique numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. À voir le vidĂ©o, c’est trĂšs trĂšs simple. Et c’est gratuit, bien Ă©videment. Google-Style.

J’ajouterais une note de jalousie Ă  voir ces bande de joyeux lurons s’amuser travailler sans problĂšme financiers Ă  dĂ©velopper des trucs inimaginables. Ce n’est pas un boulot, c’est le Club Med pour geeks. Avis aux riches vieillards qui veulent redonner Ă  la sociĂ©tĂ©, je suis disposĂ© Ă  crĂ©er un tel laboratoire Ă  vos frais.

Via 2803

Des blogueurs en grĂšve?

Non mais, c’est quoi cette histoire de blogueurs en grĂšve? DĂ©jĂ  que j’ai toujours mis des rĂ©serves sur l’appellation de « blogueur » un journaliste ou Ă©ditorialiste qui prend son contenu papier, le place sur un site web et lui colle l’étiquette de blogue, il faut maintenant que ceux-ci soient en grĂšve.

Ça dĂ©tonne franchement du blogueur indĂ©pendant qui Ă©crit ce qu’il veut quand il veut et ne se fait pas dire quoi faire ni penser par personne, non?

Bien que ces « blogueurs » (comme lui, elle, elle et lui) ne me donnent pas l’impression d’ĂȘtre en faveur de cette grĂšve, je comprends qu’ils n’ont plus le « droit » de bloguer parce que la tĂąche de bloguer n’est pas dĂ©finie dans les conventions collectives. Autrement dit, bloguer ne fait pas parti des tĂąches normallement rĂ©munĂ©rĂ©es d’un journaliste, d’un Ă©ditorialiste ou d’une chroniqueuse. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquĂ©?

Ils ne se font donc pas payer pour ce dur labeur qu’est bloguer. Le syndicat est en rogne et la directive sur les moyens de pression est claire : Cessons de faire exploiter nos valeureux membres alors qu’ils bloguent gratuitement pour ce mĂ©chant patron. SO-SO-SO SOLIDARITÉ!

Eh
 des blogueurs qui ne gagnent pas une cenne pour leur temps passĂ© Ă  bloguer, c’est la norme plus que l’exception, non? Dans ce cas, ne devrions-nous pas tous nous rĂ©volter et bloquer le web au complet en cessant de publier sur nos blogues? Bien sĂ»r que non. De un, nos Ă©gos en prendraient plein la gueule en voyant qu’on ne change pas grand chose, de deux, d’autres prendrait notre place et nous aurions tout perdu ou presque. L’utilisateur final qui cherche de l’info et dĂ©sire en consommer ira voir ailleurs, tout simplement.

Bref, j’imagine que je n’ai rien compris de l’histoire, des vrais enjeux, de la situation et du dĂ©bat de fond puis que je dis n’importe quoi. Je vais leur donner ça, ces pseudos blogueurs ont la qualitĂ© de faire les choses diffĂ©rement. Non mais, un blogueur en grĂšve
 elle est bonne celle lĂ !

UPDATE : Il semblerait que ces blogueurs ne bloguent pas volontairement, mais qu’ils se soient fait demandĂ© de bloguer sans compensation financiĂšre additionnelle. Ça change Ă©videment la perception des choses. Dans ce cas… so-so-so solidaritĂ©!

L’Ă©moticĂŽne a 25 ans :-)

Aujourd’hui, le 19 septembre, on fĂȘte les 25 ans du cĂ©lĂšbre p’tit bonhomme sourire connu sous le nom d’Ă©moticĂŽne. En effet, le 19 septembre 1982, le professeur de l’Université Canergie Mellon Scott E. Fahlman inventait ce petit bonhomme. Curieusement, il a publiĂ© cet Ă©trange mĂ©lange de caractĂšres en forme de sourire lors d’une discussion sur les limites de l’humour en ligne et sur comment dĂ©montrer qu’on prend les choses Ă  la lĂ©gĂšre.

Nous connaissons la suite, ce petit bonhomme Ă  fait le tour de la planĂšte. Ça fait parti du quotidien de toute personne habituĂ©e aux communications Ă©lectroniques et aide Ă  nuancer nos messages. Mais 25 ans? Je ne pensais pas qu’il Ă©tait si vieux… J’aurais dis 15 ans? C’est qu’il ne ride pas alors c’est dur d’Ă©valuer son Ăąge!

Bonne fĂȘte ÉmoticĂŽne!