Alors le Web, c’est dĂ©mocratique ou pas?

 

Digg, ce site de partage de signets (eh
 traduction de social bookmarking) trĂšs populaire est sensĂ© ĂȘtre dĂ©mocratique. Autrement dit, les utilisateurs affichent des liens vers des nouvelles ou autre contenu puis votent pour ce qu’ils trouvent intĂ©ressant. Ceux ayant le plus de votes sont promus sur la page d’accueil, leur donnant une grande visibilitĂ©.

En thĂ©orie, ce principe est beau puisque le meilleur contenu du web est filtrĂ© par un rĂ©seau d’intelligence humaine. En pratique, c’est autre chose parce qu’oĂč il y a de l’homme, il y a de l’hommerie. Donc, spam, tricherie, arnaque, etc.

Pour combattre ça, Digg doit changer sa façon de faire. Soit Digg devient contrĂŽlĂ© par une Ă©lite ou des utilisateurs modĂ©rateurs soit l’algorithme est tellement modifiĂ© pour Ă©viter les dĂ©rapages que ça n’a plus rien Ă  voir avec le systĂšme thĂ©oriquement ouvert. Dans les deux cas, n’a de dĂ©mocratique que le nom.

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OĂč trouver un emploi payant?

Vous ĂȘtes une grosse tĂȘte qui ne se contente pas d’un salaire minable? Vous ĂȘtes fatiguĂ© de chercher sur ces sites d’emplois oĂč les annonces pour cadre cĂŽtoient le bas de l’Ă©chelle? Et bien, The Ladders est la solution pour vous! Ce site exploite la niche des emplois payant un salaire de 100 K$ et plus.

« The premium job site created exclusively for $100k+ people looking for $100k+ jobs. ». Rien de moins!

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Web gratuit vs payant : Le WallStreet Journal restera payant

 

J’avais dĂ©jĂ  parlĂ© que le grand patron du Wall Street Journal, M. Murdoch, pensait rendre son journal en ligne totalement gratuit. Il semblerait que ça ne se produira pas.

Pourquoi?

PremiĂšrement, parce que le WSJ a une audience de niche dont les annonceurs sont prĂȘts Ă  payer plus cher pour rejoindre. Rendre le contenu gratuit se traduirait bien sĂ»r par un nombre plus Ă©levĂ© de visiteurs, mais aussi par une dilution de leur cible : 

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Yulbiz-Québec, jeudi le 31 janvier prochain

Nouvelle année, nouveau Yulbiz-Québec!

Le Yulbiz-Québec a décidé de faire peau neuve et de prendre quelques résolutions.

Adieu la routine!
C’est le premier point votĂ© Ă  l’unanimitĂ© par le comitĂ© qui a siĂ©gĂ© la semaine derniĂšre. Au fil des rencontres, nous adopterons une nouvelle formule plus dynamique et plus profitable pour tous les participants!

Tout spĂ©cialement pour ce premier jeudi, un discours d’introduction au changement s’annonce et l’opinion de tous les gens prĂ©sents sera sondĂ©e. Participez nombreux! Tous les professionnels et amateurs du domaine du Web sont les bienvenus.

Plus d’infos sur le groupe Facebook

Yulbiz-Québec, ce jeudi à 19h, à la Taverne Urbaine Chez Mo.

Voici les directions sur Google Maps

DĂ©jeuner-confĂ©rence : Une industrie en transition : de l’analyse web Ă  l’optimisation marketing

Pour les amateurs de Web Analytique, ceci pourrait vous intéresser:

La « Web Analytics Association » (WAA) et le « eMetrics Marketing Optimization Summit » présentent:

Une industrie en transition : de l’analyse web à l’optimisation marketing

DĂ©jeuner-confĂ©rence : MontrĂ©al – 6 fĂ©vrier 2008

Contributeurs et commanditaires :
· Commanditaire corporatif –  iPerceptions
· HĂŽte – Stephane Hamel, Immeria.net
· Commanditaire associĂ© –  Bureau de la publicitĂ© interactive du Canada (IAB Canada)
· Commanditaire de la prĂ©sentation – eMetrics Marketing Optimization Summit – Toronto, 31 mars – 2 avril 2008

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Bloguer pour mieux parler anglais?

 

Chaque fois que je lis des blogues en anglais d’un francophone comme StĂ©phane Hamel, bilingue comme Brem et d’autres de MontrĂ©al qui alternent le français et l’anglais selon l’humeur, je me dis que je devrais faire la mĂȘme chose.

Je fais parti de cette bande de francophones qui travaillent et qui ont fait ses Ă©tudes en anglais (lecture) et qui ont des loisirs en anglais (jeux, tv et films en anglais). Mais, je fais aussi parti de cette bande de francophones qui ne parlent jamais ou rarement en anglais. Si bien que lorsque je reçois un tĂ©lĂ©phone en anglais, j’ai l’air d’un grand dĂ©bile incurable qui essaie de parler avec des lames de rasoir dans la bouche. Heureusement, j’écris rĂ©guliĂšrement en anglais.

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Blogues corporatifs en cinq points

 

Il y a un problĂšme avec les entreprises dĂ©sirant se mettre au blogue. Ça se rĂ©sume « Je ne blogue pas parce que je ne suis pas lu et je ne suis pas lu parce que je ne blogue pas ». Autrement dit, bloguer ne semble pas intĂ©ressant parce que les bĂ©nĂ©fices ne se font pas sentir Ă  court terme.

Pourtant, les entreprises qui bloguent en retirent des avantages Ă©vidents : Meilleur rĂ©fĂ©rencement dans les outils de recherche, positionnement comme leaders et spĂ©cialistes d’un domaine, rapprochement avec la clientĂšle, etc.

Comment réussir un blogue corporatif alors? Voici cinq points qui peuvent aider.

1- Vision Ă  long terme

On ne dĂ©marre pas un blogue d’entreprise un bon matin, comme ça, sans y penser. Pourquoi voudrait-on bloguer? Que desire-t-on bĂątir et en retirer? Ça prend une vision Ă  long terme et bloguer doit faire parti de la culture d’entreprise. Sinon? Et bien ça donne un blogue qui n’a pas Ă©tĂ© mis Ă  jour depuis des semaines.

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L’argent ou l’attachement?

 

On vous offre 250 000$ pour votre site web, mais c’est votre joujou dans lequel vous avez investi beaucoup de vous mĂȘme. Vous vendez ou pas? Je repensais au type de Facebook et Ă  quelques autres qui refusent des offres allant de quelques millions Ă  plusieurs centaines de millions, voire des milliards.

À moins que je pense que ça a le potentiel de valoir le double ou le triple dans quelques mois, je signe la vente sans trop d’hĂ©sitations. HĂ©sitations, je parle de facteurs comme qui est l’acheteur, peut-il payer, ce qu’il va en faire (pour Ă©viter que mon nom se retrouve associĂ© Ă  un scandale par exemple).

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