Une SWAFF en Suisse

Les soirĂ©es SWAFF font des p’tits! Un lecteur, Albert,  m’informe qu’une SWAFF est organisĂ©e Ă  GenĂšve en Suisse. L’Ă©vĂ©nement Facebook est ici. Internationnaliser le SWAFF comme le Yulbiz et faire des « chapitres » n’Ă©tait vraiment pas dans les plans (d’ailleurs, il n’y a pas de plan), mais d’un autre cĂŽtĂ©, l’idĂ©e est exportable. Tout comme le nom d’ailleurs. Dans le fond, des soirĂ©es Web & Affaires, il peut y en avoir partout. Ça prend seulement des gens qui veulent se rencontrer et parler… Web et Affaires! Si le nom et la forme plaisent, gĂȘnez-vous pas pour « piquer l’idĂ©e des quĂ©bĂ©cois » comme le disent les copains en Suisse!

Un modĂšle freemium pour Twitter?

Quelle coĂŻncidence. En mĂȘme temps que je donne une seconde chance Ă  Twitter, voilĂ  que j’apprends qu’ils offriront bientĂŽt des comptes payants sur le modĂšle freemium. Quelle bonne idĂ©e! Le modĂšle freemium est d’offrir un produit ou service gratuit puis de faire payer un frais pour de la valeur ajoutĂ©e.

Zéro revenu comme dans rien pantoute, niets, none, nada

N’oublions pas que faire un service populaire est une chose, le rentabiliser en est une autre. Et jusqu’Ă  prĂ©sent, malgrĂ© les millions en financement et ses 7 M de visiteurs uniques en fĂ©vrier, les revenus sont un gros zĂ©ro. Certains diront qu’il faut s’occuper de la masse critique d’abord et du pognon ensuite. Peut-ĂȘtre. Perso, ça me rend insĂ©cure cette maniĂšre de penser.

LĂ  oĂč est le pognon

Dans ce cas ci, Twitter resterait gratos pour tout le monde, mais ferait payer pour des mĂ©triques et statistiques supplĂ©mentaires, de la vĂ©rification de compte ou n’importe quoi d’autre qui plairait aux entreprises. Parce que bien sĂ»r, ce sont les entreprises qui sont visĂ©es.

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Mon aventure Twitter en vrac

C’est fait. J’ai mis mes mauvaises expĂ©riences Twitter de l’époque de cĂŽtĂ©. Pour l’instant du moins. Le temps de rĂ©-essayer et voir s’il y a de quoi Ă  faire avec ça. En effet, en lisant des trucs profonds comme ça, je me dis que je passe peut-ĂȘtre Ă  cĂŽtĂ© de quelque chose. Sans parler que je me suis fait cuisinĂ© au dernier Swaff par Étienne Chabot. Je suis maintenant bien mijotĂ©, prĂȘt Ă  ĂȘtre servi avec vos pommes de terre prĂ©fĂ©rĂ©es.

Kossé je fais là?

Business avant tout. Comme pour mon blogue et Facebook, je m’en sers parce que j’ai un intĂ©rĂȘt de rĂ©seautage professionnel. Pas pour me faire des amis. J’aimerais m’en servir un peu comme mon blogue : Deux portions de ma vie entrepreneuriale, une portion dĂ©jantĂ©e Ă  la Steph. Si vous me voyez publier des trucs insipides, n’hĂ©sitez pas Ă  sonner l’alarme. Je ne voudrais pas virer comme ça.
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La sĂ©curitĂ© est-elle vraiment un inconvĂ©nient d’une startup?

J’ai eu plusieurs discussions derniĂšrement concernant les emplois dans des PME comme la nĂŽtre. D’abord parce que nous sommes Ă  la recherche de personnel compĂ©tent, mais aussi Ă  cause de la crise Ă©conomique actuelle. En gros, j’ai souvent droit Ă  quelque chose du genre : « IntĂ©ressant ta boĂźte Steph, mais je ne peux pas courir le risque d’ĂȘtre dans une startup ».

Risque?

Quel risque? La grosseur de la boĂźte? Ha ok, vous voulez dire que parce qu’une entreprise a 1000 employĂ©s et a un chiffres d’affaires de centaines de millions, votre emploi est moins Ă  risque que dans une p’tite boĂźte de sardine avec une poignĂ©e d’employĂ©s? Vous ne lisez pas les journaux n’est-ce pas?

À mon avis, une sociĂ©tĂ© mal gĂ©rĂ©e est aussi Ă  risque que n’importe quelle autre, peu importe sa taille. La diffĂ©rence, c’est que la grande va foutre Ă  la porte des centaines de personnes du coup alors que pour la petite, c’est Ă  l’unitĂ©.
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Grosse SWAFF ce soir!

Peut-ĂȘtre que c’est parce que le printemps arrive et que les marmottes sortent, mais ça s’annonce bien pour ĂȘtre une grosse SWAFF ce soir. Il y a dĂ©jĂ  50 personnes qui ont confirmĂ© en plus de 47 « peut-ĂȘtre ». Ça fait du monde!

Je continue donc de croire que changer de nom et d’attitude pour les SoirĂ©es Web & Affaires, les fameuses SWAFF, aura Ă©tĂ© une excellente idĂ©e.

» Le groupe SWAFF sur Facebook
» La page de l’évĂ©nement de ce soir

On se voit ce soir chez Mo Taverne Urbaine @ 17h30!

Twitter expliqué en cartoon

A force de regarder des trucs qui montrent ce qu’est Twitter et aprĂšs avoir ouvert mon 2e compte, peut-ĂȘtre que je vais me mettre Ă  twitter bientĂŽt?

Quelques passages Ă  retenir :

Who are they talking to?
No one and everyone!

En y repensant bien, le dĂ©bile au coin de la rue qui parle tout seul est peut-ĂȘtre l’inventeur de Twitter sans le savoir?

Ou encore :

I don’t care what people are doing every second of the day
Neither do I, but we do want other people knowing what we are doing, right?

Finalement, le mec résume simplement:

It seems like twittering is randomly bragging about your unexceptional life
ho now you’re getting it!

Ho, et un dernier passage :

You’re addict, you need help!

Via le blogue de Greg

Ressource en Web analytique recherchée

Nous sommes Ă  la recherche d’une tĂȘte de Web analytique. Comme c’est un domaine relativement nouveau, ce n’est pas un mĂ©tier trĂšs bien dĂ©fini. En gros, voici le profil recherchĂ© :

– Scientifique dans l’ñme avec des aptitudes en communication OU
– Communicateur dans l’ñme avec des aptitudes en sciences

Son rÎle est assez varié, mais repose essentiellement sur deux axes :

Communication

Animer une communautĂ©, rĂ©diger des Ă©tudes de cas, billets de blogue, ĂȘtre un relais pour l’info de l’industrie, promouvoir le Web analytique, les bonnes pratiques et faire rayonner les services de Percute Technologies.
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Est-ce que Facebook aura la peau de Twitter?

En voyant la nouvelle version de Facebook, il me semble clair que c’est destinĂ© Ă  jouer dans les plates-bandes de Twitter. En effet, si ce qui a fait la renommĂ©e de Twitter est ceci :

Facebook ne fait pas trop dans le subtil en changeant son entĂȘte pour cela :

<parenthĂšse> : J’ai fait un nouveau compte Twitter parce que je ne rappelais plus de mon ancien que je n’utilisais pas. Automatiquement, je suivais 4 personnes que je ne connaissais pas et ces mĂȘmes 4 personnes me suivaient. Pas Ă©tonnant que les « followers » me semblent souvent ĂȘtre n’importe quoi. Comme mon pote Phil qui a 500+ suiveux alors qu’il n’a jamais Ă©crit un twit
 J’imagine qu’en s’y mettant moindrement, c’est facile d’avoir 2000 followers.</parenthĂšse>
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