Réflexions en vrac 2.0

Même si je suis passablement occupé ces temps-ci, ce n’est pas une raison pour abandonner le blogue. Quitte à approfondir un sujet, allons-y de 3 brèves réflexions.

Ma fête

C’était ma fête hier. Comme bien des gens le jour de leur fête, mon mur Facebook a été plutôt agité avec tout plein de vœux d’anniversaire. Est-ce que la journée d’anniversaire est une bonne occasion de faire un ménage Facebook? Dans un contexte où c’est un réseau « d’amis », devront-on flusher ceux qui ne souhaite pas bonne fête? Ou encore ceux à qui on n’a pas envie de souhaiter bonne fête le jour de leur anniversaire?

Tweeps

Sans mettre Twitter au recyclage, je le délaisse depuis un moment. Je trouve ça difficile de garder une orientation professionnelle et utile. Je veux bien croire qu’il faut parler autre chose que du boulot pour bâtir des relations, mais quand on est rendu à se lever le matin et dire des « bonjour tweeps » ou « ‘morning tweetville », j’y perds de l’intérêt. Pourquoi ne pas aller au centre d’achat crier quelques « bonjour » tant qu’à y être?  Du virtuel qui devient trop personnel, pas sûr… Ça me rappelle de plus en plus les salles de chat IRC où je perdais beaucoup de temps en 1997.

NO expert

Je suis ce que certains appellent un expert dans mon domaine. Perso, ça me gosse d’être un expert. C’est difficile, pas nécessairement payant et trop souvent, c’est ardu de distinguer l’expert de l’imposteur. Et sur le Web, les imposteurs abondent. Je préfèrerais être le gars qui sait pourquoi plutôt que celui qui sait comment. Avez-vous déjà remarqué que les plus futés en affaires ne sont pas ceux qui savent comment, mais ceux qui savent pourquoi et qui connaissent le gars qui sait comment?

NOFOLO recrute

Chez NOFOLO, on ne chôme pas. Tellement pas que nous recherchons présentement quatre bonnes têtes pour agrandir notre équipe de chefs. NOFOLO, c’est un dream team qui compte présentement 3 associés et 9 chefs.

Techno, production, e-marketing…

Les postes ouverts sont :

  • Grand chef des technologies
  • Chef du R.O.I.
  • Chef de la programmation v1.2
  • Chef de la plomberie Web

» Plus ou moins de détails sur notre site.

Qui fit dans le moule NOFOLO?

C’est pas tout d’être bon, il faut avoir l’attitude. Et la bonne. NO gros égo. Ça prend des ninjas dans l’âme qui aiment les défis, mais surtout, qui les réalisent. NO grand parleur. Des gens qui veulent être impliqués et qui veulent faire une différence dans un projet. NO passivité. Tu crois qu’on peut toujours faire mieux et qu’en équipe, c’est plus facile? NO I in team! Arrête de te jouer dans le nez et envoie moi un email maintenant.

Mes anti-prédictions Web pour 2010

Qu’y a-t-il de pire que des experts qui font des prédictions? Pas un seul expert économique n’a vu la récession arriver pas plus qu’aucun expert n’avait prédit un aussi grand succès à Facebook en 2004. Que dire des autres experts qui prédisaient une révolution avec Second Life. C’est pourquoi j’y vais avec mes anti-prédictions pour 2010.

Facebook à atteint un plateau dans plusieurs marchés

Ce n’est rien de scientifique, seulement une impression. Mais avec un peu plus de 2 millions d’utilisateurs Facebook au Québec, je doute que ça augmente encore beaucoup. Ceux qui ne sont pas sur Facebook dans mon entourage, c’est parce qu’ils ne veulent pas et non parce qu’ils ne connaissent pas ça. Et encore. Une bonne majorité des utilisateurs ne sont pas très actifs.

Peut-être si  Facebook Connect devient un incontournable avec de multiples applications, le taux de pénétration augmentera, mais pour la participation, on repassera.

Twitter n’est pas si grand public

Twitter grand public? La tivi est grand public. Pas Twitter. Bien que le nombre d’utilisateurs augmente et que je crois à son utilité, 80% du contenu est généré par une poignée de personnes. Les gens passifs n’ont pas été inventés avec le Web…

Bozo le clown devient stratège Web

Comme 9 personnes sur 10 sont maintenant des pros du Web qui s’autoproclament stratèges, Bozo le clown a décidé d’en faire autant et devient Bozo le stratège. Sérieusement, des stratèges Web, il y en a de toutes les couleurs, toutes les origines, pour tous les goûts, à toutes les sauces et à tous les prix. Heureusement que la loi du marché va finir par épurer l’offre…

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Top Blogues revendu

Top Blogues, le répertoire de blogues québécois qui a ouvert en 2006, puis fermé, puis réouvert, puis laissé à l’abandon, puis refermé, puis réréouvert avant d’annoncer officiellement sa fermeture qui a donné naissance à Tout Le Monde En Blogue, puis réréréouvert pour de bon quelques jours après le lancement de Tout Le Monde En Blogue, a été revendu le week-end dernier.

Une bonne idée

Dans le temps, j’aimais bien Top Blogues parce que c’était le seul répertoire de blogues digne de ce nom. C’était la référence et la compétition était inexistante. Mais les proprios l’ont laissé à l’abandon ce qui a causé plusieurs irritations auprès des utilisateurs dont je faisais parti. Je crois que le manque de ressources et de connaissances était en cause car à la base, c’est un projet relativement simple (Une BD avec 2-3 tables et 4-5 pages php…).

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Profitabilité numérique? De kossé?

On voit souvent des tag line d’entreprises tirés par les cheveux (quelques exemples ici). Mais certains méritent un commentaire. C’est le cas de la nouvelle boîte Web Tink, fusion de BMG multimédia et de S2i avec leur ligne « Profitabilité numérique ».

Profitabilité numérique…

Sérieux, c’est n’importe quoi. Le « numérique » est un cliché au goût du jour, comme interactif, 2.0, intelligence ou architecte. Pourquoi ne pas dire architectes d’intelligence interactive numérique 2.0? Numérique, ça sonne comme le « 2000 » dans les années 80. Ça fait futuriste et d’avant-garde. Branché quoi!

Une première mondiale?

Mouais… Si numérique, interactif et intelligence sont sur-utilisées, profitabilité est nouveau en son genre. Ce n’est pas significatif, mais ça a au moins le mérite d’être nouveau. Tellement nouveau que Tink est la première du genre au Québec tel qu’ils le mentionnent : « S2i Web et BMG Multimedia deviennent Tink, la première firme en profitabilité numérique au Québec. ».

Wow, quand même! Je dirais peut-être même la première au monde puisqu’en cherchant sur le sujet, on ne trouve rien.  Ni en français, ni en anglais. D’ailleurs, ils ont inventé le mot « profitabiliser » et en ont fait une marque de commerce. Pas pire, hein?

Bref, cette ligne est une belle balloune pleine d’air qui en met plein la vue. Manque seulement David Copperfield avec des feux d’artifice et c’est complet. Mais bon, pour le reste, cette consolidation dans le domaine me semble une bonne affaire et c’est sûrement bon pour la santé de l’industrie. Si c’est bon pour l’industrie, c’est bon pour tout le monde. Les clients comme pour nous. Et chez Tink ils ont aussi leur Stéphane Guérin. C’est sûrement pas si pire comme boîte! 😉

La cravate, ça sert à quoi encore?

Un pote qui a eu une promotion dernièrement me dit qu’il met maintenant la cravate quotidiennement. D’une grimace je lui réponds que c’est malheureux d’être ainsi traité. Évidemment s’en suit un court débat sur le port de la cravate.

L’histoire de la cravate

La cravate, comme les bijoux, les chapeaux ou autres kossins de mode sont des objets servant à afficher un statut social ou une appartenance à un groupe. Ou bien, comme j’aime le dire, ça sert à masquer son incompétence (citation de quelqu’un que je ne me rappelle plus).

Selon Wikipédia, les origines de la cravate remontent au XIVe siècle, mais c’est à partir des années 1920 qu’on aura la cravate que l’on connaît aujourd’hui.

Formel, réglementaire, conforme

De nos jours, on associe la cravate avec le sérieux, le professionnalisme. Mais je me rappelle très bien mon grand père se mettre en cravate, ce qu’il appellait « l’habit du dimanche ». En effet, la classe ouvrière d’autrefois travaillait en jeans et s’habillait en cravate la fin de semaine. Aujourd’hui, c’est l’inverse.

Et aujourd’hui, la cravate est souvent associée avec des mots comme formel ou réglementaire. Conforme au code vestimentaire en vigueur dans l’entreprise. Des mots pour encourager la créativité quoi!

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Qui veut acheter une entreprise qui ne va nulle part?

« La situation actuelle ne permet plus à son gérant et à ses associés, d’assurer la pérennité du site Internet. C’est pour cette raison que le site est mis en vente »

« Face aux difficultés du marché et à la forte concurrence, le site internet est mis aux enchères à partir de 100 euros sur le site d’Ebay. »

Vous, je ne sais pas, mais moi ça ne me donne pas le goût d’acheter. Ces extraits sont tirés de l’enchère sur eBay et de l’avis qu’ils m’ont envoyés par email pour que je passe l’info. Ce que je fais présentement.

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Perdre son job n’est pas mortel

Perdre son job n’est pas mortel. Dérangeant oui. Mortel non. Des gens de mon entourage vivent avec des mises à pied ou des horaires diminués depuis quelque temps. Principalement dans le secteur manufacturier et industriel quoiqu’aucun secteur n’est à l’abri. Une question qui revient est « Qu’est-ce que je vais faire si je perds mon job? ».

La foutue zone de confort

Je ne suis pas psychologue. Cependant, je sais que l’homme est une bestiole qui aime le confort, la sécurité et la stabilité. La fameuse zone de confort. Déranger ses habitudes place cette bête en état de stress. Puis, il y a deux façons de réagir. Celle où tout notre monde s’écroule et celle où on voit ça comme une opportunité.

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Mon aventure Twitter en vrac

C’est fait. J’ai mis mes mauvaises expériences Twitter de l’époque de côté. Pour l’instant du moins. Le temps de ré-essayer et voir s’il y a de quoi à faire avec ça. En effet, en lisant des trucs profonds comme ça, je me dis que je passe peut-être à côté de quelque chose. Sans parler que je me suis fait cuisiné au dernier Swaff par Étienne Chabot. Je suis maintenant bien mijoté, prêt à être servi avec vos pommes de terre préférées.

Kossé je fais là?

Business avant tout. Comme pour mon blogue et Facebook, je m’en sers parce que j’ai un intérêt de réseautage professionnel. Pas pour me faire des amis. J’aimerais m’en servir un peu comme mon blogue : Deux portions de ma vie entrepreneuriale, une portion déjantée à la Steph. Si vous me voyez publier des trucs insipides, n’hésitez pas à sonner l’alarme. Je ne voudrais pas virer comme ça.
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Quatre façons de se payer dans une startup

Vous avez une bonne idée et la fibre entrepreneuriale en vous vibre follement? C’est bien! Et tout suite, la première question qui vous vient à l’esprit est : Mais comment je vais vivre pendant le démarrage? En effet, il y a cette période critique de pré-démarrage où il n’y a aucun revenu alors que les dépenses, aussi banales que l’épicerie et le loyer, continuent d’arriver. Voici quatre façons :

La façon sans-risque

Vous avez une job? Ne la quittez pas! C’est votre source de financement numéro un. Les risques monétaires sont minimes quand on a un patron qui finance notre projet (Souvent à son insu. Mais bon.). Par contre, il faut être prêt à travailler fort les soirs, les nuits et les fins de semaine.  Travailler sur des projets perso au bureau est une mauvaise idée. Perso, je l’ai déjà fait. Mais j’ai passé le cours Ne pas se faire prendre par le patron 101.

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