
Même si je suis passablement occupé ces temps-ci, ce n’est pas une raison pour abandonner le blogue. Quitte à approfondir un sujet, allons-y de 3 brèves réflexions.
Ma fête
C’était ma fête hier. Comme bien des gens le jour de leur fête, mon mur Facebook a été plutôt agité avec tout plein de vœux d’anniversaire. Est-ce que la journée d’anniversaire est une bonne occasion de faire un ménage Facebook? Dans un contexte où c’est un réseau « d’amis », devront-on flusher ceux qui ne souhaite pas bonne fête? Ou encore ceux à qui on n’a pas envie de souhaiter bonne fête le jour de leur anniversaire?
Tweeps
Sans mettre Twitter au recyclage, je le délaisse depuis un moment. Je trouve ça difficile de garder une orientation professionnelle et utile. Je veux bien croire qu’il faut parler autre chose que du boulot pour bâtir des relations, mais quand on est rendu à se lever le matin et dire des « bonjour tweeps » ou « ‘morning tweetville », j’y perds de l’intérêt. Pourquoi ne pas aller au centre d’achat crier quelques « bonjour » tant qu’à y être? Du virtuel qui devient trop personnel, pas sûr… Ça me rappelle de plus en plus les salles de chat IRC où je perdais beaucoup de temps en 1997.
NO expert
Je suis ce que certains appellent un expert dans mon domaine. Perso, ça me gosse d’être un expert. C’est difficile, pas nécessairement payant et trop souvent, c’est ardu de distinguer l’expert de l’imposteur. Et sur le Web, les imposteurs abondent. Je préfèrerais être le gars qui sait pourquoi plutôt que celui qui sait comment. Avez-vous déjà remarqué que les plus futés en affaires ne sont pas ceux qui savent comment, mais ceux qui savent pourquoi et qui connaissent le gars qui sait comment?


Qu’y a-t-il de pire que des experts qui font des prédictions? Pas un seul expert économique n’a vu la récession arriver pas plus qu’aucun expert n’avait prédit un aussi grand succès à Facebook en 2004. Que dire des autres experts qui prédisaient une révolution avec 

Un pote qui a eu une promotion dernièrement me dit qu’il met maintenant la cravate quotidiennement. D’une grimace je lui réponds que c’est malheureux d’être ainsi traité. Évidemment s’en suit un court débat sur le port de la cravate.
« La situation actuelle ne permet plus à son gérant et à ses associés, d’assurer la pérennité du site Internet. C’est pour cette raison que le site est mis en vente »
Perdre son job n’est pas mortel. Dérangeant oui. Mortel non. Des gens de mon entourage vivent avec des mises à pied ou des horaires diminués depuis quelque temps. Principalement dans le secteur manufacturier et industriel quoiqu’aucun secteur n’est à l’abri. Une question qui revient est « Qu’est-ce que je vais faire si je perds mon job? ».
C’est fait. J’ai mis mes mauvaises expériences 