Transformez vos idées en revenus

Si vous avez porté attention, vous avez remarqué que j’utilise la forme impérative et non la forme interrogative comme dans « Transformer vos idées en revenus? ». Pourquoi? Parce que c’est impératif bonyenne!

Une bonne idée c’est bien, une idée qui rapporte c’est mieux

Avoir une une bonne idée est la partie facile de la game. Générer des revenus à partir de cette idée est souvent la différence entre un hobby et un projet d’affaires. En fait, ça devrait être un réflexe de penser au modèle d’affaires quand on a une idée. Pas de modèle d’affaires, pas de projet d’affaires en somme.

Comment traduire une idée en revenus

On pourrait élaborer un plan d’affaires et faire des dizaines de scénarios. Je préfère l’approche du pif. Celle-ci consiste à se faire une bonne idée du potentiel en regardant le client type et le volume.
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Se lancer seul dans une startup?

Vous êtes prêt à fait le saut dans le monde des statups et mettre en branle votre projet d’affaires? Vous y croyez tellement que vous pensez y arriver seul? Bonne chance! En effet, pourquoi plusieurs entreprises sont le fruit de plusieurs partenaires? Parce que c’est plus facile et plus intelligent.

Plus facile?

Avez-vous vraiment une bonne idée de tout le travail que comporte une entreprise outre le développement du produit / service? La vente, le service, la comptabilité, la gestion des ressources humaines, la gestion au jour le jour, etc. Ça en fait des trucs à penser pour une seule personne.

Plus intelligent?

Avec toutes ces tâches, vous passerez plus de temps à faire ce que vous détestez plutôt que faire ce que vous aimez et ce dans quoi vous êtes le meilleur. Se trouver des partenaires complémentaires est un signe de talent en affaires : S’entourer de gens compétents et faire confiance aux autres.

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Combien d’heures doit travailler un entrepreneur?

C’est classique. Vous voulez vous lancer en affaires, mais vous ne voulez pas bousculer votre routine de 35 heures par semaine dans votre confortable cubicule au gouvernement? Est-ce possible de démarrer une entreprise tout en gardant sa famille et en se rappelant du nom de ses enfants? Peut-on devenir riche en travaillant quatre heures par semaine?

Le succès passe par le travail

À part quelques rares chanceux qui étaient au bon endroit au bon moment, ceux qui ont du succès travaillent très fort. Plus fort que la moyenne. Peu importe le domaine, que ça soit en affaires, à l’école ou dans les sports. Maintenant, combien d’heures devrez-vous mettre?
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Click Contact, un projet (trop) ambitieux?

Une startup de Québec vient de lancer un nouveau réseau social Web 2.0 : Click Contact. Kossé ça? C’est un genre de Facebook / site de rencontres / petites annonces mélangées. Si je comprends bien, contrairement à Facebook où on est en contact avec ceux que l’on connaît, sur Click Contact on entre en contacts avec des inconnus. Son marché? Mondial. Rien de moins.

Un late-mover

Bien qu’il commence à être tard pour embarquer dans la vague des réseaux sociaux (ça date de 2004, une éternité quoi!), ça n’empêche pas qu’un nouveau produit peut percer et réussir. Google a réussi plusieurs années après Yahoo! et d’autres outils de recherche.

Le défi

Peu importe si j’aime l’idée ou non, ça ne changera rien au défi qui attend Click Contact : La masse critique. C’est le principe du téléphone. Personne n’achète de téléphone parce que personne n’a de téléphone. Maintenant tout le monde achète un téléphone parce que tout le monde a un téléphone. Comme tout le monde est sur Facebook parce que tout le monde est sur Facebook. Malheureusement, côté réussite, il y a peu d’appelés et encore moins d’élus.

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Quel salaire valez-vous?

En cette période de recrutement intensif, on un passe bon nombre d’entrevues. Et qui dit entrevue, dit attentes salariales de part et d’autre. En effet, il y a de quoi autour du salaire. C’est littéralement la couille dans la soupe. C’est aussi amusant que de casser la nuit de noces pour parler du testament, de la séparation des biens et de qui gardera le chien. Bref, la totale quoi.

Le salaire et le malaise

Le sujet du salaire est le moment d’une entrevue où le malaise s’installe. D’un côté, c’est souvent la gêne, de l’autre c’est la réaction face à un salaire démesuré. Personne ne veut se commettre de crainte de pas demander suffisament ou pour ne pas trop offrir.

Quel salaire vaut-on au juste?

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Gérer comme Fred Caillou

Les gens de mon âge (merde, ça sonne vieux ça) se rappelleront des Pierrafeu et de notre cher ami Fred Caillou. Si je ne me rappelle pas trop de toutes les émissions, un passage m’a marqué: Celui où Fred Caillou gère l’entreprise de son sosie. Celui-ci avait tout compris de la gestion et avait enseigné à Fred comment prendre de bonnes décisions :

« Tu vas voir, c’est facile. Tu n’as qu’à dire  « C’est le bébé de qui? », « Quel pourcentage? » et « Je vote pour ça ». »

Voilà, pas besoin d’en savoir plus pour prendre de bonnes décisions. Et ça m’a marqué. Depuis ce temps, je prends des décisions selon les mêmes principes.

Débile?

Non pas du tout! Ce que le sosie de Fred Caillou ne dit pas, c’est qu’il est entouré de gens plus compétent que lui en qui il a totalement confiance. Alors si ces personnes croient que c’est la bonne décision, pourquoi en douter? Ne reste plus qu’à faire la partie de son boulot et dire :

– C’est le bébé de qui?
– Quel pourcentage?
– Je vote pour ça.

Bref, c’est quand même déplorable que pendant toutes mes études au MBA, nous n’avons pas appris le gros bon sens en écoutant des reprises des Pierrafeu. Qui a dit que c’était compliqué la gestion et les décisions?

Ironman, startup et coût d’opportunité

Le pote à Chris a fait (et terminé) son premier demi Ironman en fin de semaine dernière. Peu importe la position à l’arrivée, terminer cette course d’endurance est un exploit en soi. Cette épreuve est ce pourquoi il s’est entrainé pendant de longues heures dans les derniers mois. J’aimerais avoir le temps d’en faire autant!

Mais je ne peux pas. Ou plutôt, je pourrais, mais mes choix sont ailleurs. J’adore m’entrainer, bouger, faire du sport. Je dévore les kilomètres autant en vélo de route que de montagne. Et l’hiver, c’est du ski de fond sans peur du lendemain, peu importe le froid.

J’adore aussi mon entreprise. Et celle-ci, comme un bébé, demande du temps. Beaucoup de temps. Du temps qu’on ne peut pas mettre sur d’autres choses qu’on aime. C’est le coût d’opportunité.

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L’art de faire des erreurs

Billet peu commun chez Provokat qui s’intitule « On s’est trompé ». Peu commun dans le sens qu’une entreprise, comme une personne, est généralement meilleure à trouver des excuses qu’à reconnaitre ses erreurs. Publiquement en plus. C’est fort!

Question d’attitude

J’aime ce genre d’attitude. Je m’efforce d’avoir une attitude positive face aux erreurs depuis longtemps. Je me rappelle d’une game de football par un temps de merde (bouette, vent, froid et grosse pluie) où le score était 0-0 tout le match. Les offensives des deux équipes n’étaient pas capables d’avancer. On a finalement perdu le match parce que j’ai raté mon botté (en fait, je l’ai réussi, je l’ai seulement botté dans la face d’un joueur adverse) ce qui a résulté d’un touché et des uniques points du match. Bref, une défaite et c’est moi le responsable. C’est dur.

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Ne pas confondre hobby et business

Pendant mes (trop courtes) vacances, j’ai pu jaser entreprenariat à gauche et à droite tout en observant des commerces dans les régions. Puis quelque fois, je vois des gens plein de bonne volonté confondre hobby, donc un loisir ou un passe-temps, avec un véritable business.

Par exemple, quelqu’un aime fabriquer de la crème glacée et le fait avec passion. Cette personne peut en retirer quelques centaines ou milliers de dollars de revenus comme ça, à temps perdu tout en conservant son emploi régulier. Lâcher cet emploi pour se lancer dans l’aventure de la crème glacée à temps plein est une tout autre affaire. This is no pic-nic comme on dit par chez nous.

Pourquoi transformer un hobby en business?

Pour vivre un rêve, se donner un défi, réaliser quelque chose de grand à nos yeux, pour être enfin son propre patron, etc. Toutes les raisons sont bonnes pour se lancer en affaires. Ou presque. Avec le côté émotif de la chose où l’on se sent rempli de frénésie, qu’on a les yeux pétillants face au voyage qui nous attend, ça prend un côté plus pragmatique, plus réfléchi, plus rationnel : Se lancer en affaires n’est pas une histoire d’amour à l’eau de rose qui finit toujours bien.

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NOFOLO est en ligne

Nofolo

  • Steph, c’est quoi ça NOFOLO?
  • C’est notre shop Web s’t’affaire!
  • Ha? Mais, ça n’a pas l’air d’un site d’une shop Web?
  • En effet. On ne fait pas comme les autres.
  • Tout le monde dit ça, non?
  • Vrai. Mais nous on le fait.
  • Alors, NOFOLO fait quoi?
  • Du Web.
  • Du Web?
  • Oui. Du Web. Du Web avec une attitude en plus.
  • Mais encore?
  • C’est pas compliqué. Tu as un projet Web? On s’en occupe.
  • Comme les autres boîtes Web donc?
  • Non. On charge cher et on dit « non » au client.
  • Vous dites non?
  • Exactement. Lire ceci.
  • Et vous chargez cher?
  • Nos tarifs sont astronomiques! La qualité, la créativité, l’expérience, le soucis du détail ont un prix. T’as vu notre équipe? Il faut les payer ces gens là!
  • Équipe? Je pensais que tu étais dans le sous-sol de tes parents?
  • Comique va. Voilà notre équipe de chefs qui sont des bêtes de Web. Crois moi, il y a de l’expérience, du talent et de l’expertise au pied carré chez nous…

Philip Boumansour
Associé – Direction et architecture d’affaires

Ça, c’est le type qui s’organise pour que les projets soient rentables. Pour nous et pour le client. Ce n’est pas de la vente, c’est du véritable développement d’affaires. Et c’est lui qui paie le lunch d’habitude.


Stéphane Guérin
Associé – Architecture technologique et analytique Web

C’est moi ça. Le type qui s’occupe de tout ce qui est techno. Sur Internet depuis 1991, un bac en sciences informatiques, un MBA en affaires électroniques, des dizaines de projets Web réalisés de toute envergure.


Thierry Poitras
Associé – Réalisation Web et design interactif

Lui, c’est le gars qui a de la créativité qui lui sort des oreilles. Il est à la fois « business » et techno pour faire le lien entre moi et Phil. Un gars avec une compréhension du Web hors pair. Vous voulez qu’il s’occupe de votre projet Web!


David Dufour
Chef du design

Son talent de concepteur est immense. Le gars est une machine à idées perpétuelle. Je me demande où il prend tout ça? Pour un projet Web hors du commun, ça prend un gars comme David.


Simon Latouche
Chef ingénieur

La créativité, c’est bien beau, mais ça prend des gens pour réaliser les idées de fous. Simon est incroyablement compétent. Aucun projet Web ne peut lui résister.


Stéphane Bouchard-Pagé
Chef de la programmation

Les bons programmeurs sont une denrée rare. Stéphane est de cette race qui fait de l’excellent boulot peu importe les contraintes.


Stéphanie Pouliot
Chef de la production

Stéphanie est un peu comme l’acrobate du cirque du soleil qui tient une pyramide de 20 personnes sur ses épaules tout en jouant de l’accordéon et en dansant une polka sur un pied. Et elle le fait avec le sourire en plus!


Josianne Ruel Blouin
Chef délégué

Josianne s’occupe de toute la poutine que les boss n’ont pas le temps de faire. Tant qu’à faire une tâche à moitié, aussi bien la faire faire par une personne fiable. Et Josianne est la personne idéale pour ça.

Soyez vous aussi un bad boy du Web!

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