Ne pas s’assoir sur son Boomerang

Et bien… J’arrive au bureau et r’garde moi donc ça, on a un Boomerang qui traine à côté de la machine à café. Les boomerangs sont des prix remis une fois par année pour saluer les bonnes initiatives en communications interactives. Le projet récompensé est « Créer votre propre Moulin à images ». Une réalisation d’Amalgame et de NOFOLO. On a aussi notre nom sur un autre Boomerang pour avoir participé au projet « Sauve des vies » de LG2. Quand même, NOFOLO a un an et on récolte des prix. Pas pire, non?

Qui sont les grosses têtes derrière ça?

Du ben bon monde! L’idée de débile au départ, c’est notre chef du design David Dufour qui l’a eue. Puis le reste s’est réalisé avec Wendy Careau et Doris Cantin, directrices conseil chez Amalgame ainsi qu’avec Thierry Poitras, associé chez NOFOLO. Bravo groupe! Merci aussi à Daniel Gagnon de l’Office de tourisme de Québec qui nous fait confiance.

Ça goûte drôle quand même

Un céleri avec du beurre de pinottes, c’est bon, mais c’est « spécial ». Un prix Boomerang aussi. Perso, je prends ça avec un grain de sel parce qu’au fil des ans, ce ne sont pas des prix qui m’ont intéressé. Trop souvent ont été récompensé des sites visuellement beaux au détriment des sites conviviaux et fonctionnels qui réalisent des objectifs d’affaires. Ça me fait penser aux Métrostars qui donnent un prix à n’importe quel artiste qui respire. Tu me grattes le dos, je te gratte le dos et on aime ça.

Mais bon, ce sont des prix de communications interactives et non des prix qui soulignent la pertinence et la valeur d’un projet Web.  À quand les prix Frisbee et Hula-Hoop? (Et bravo à iXmedia pour leurs deux Boomerangs au passage!)

Bref, c’est flatteur et c’est l’fun pour la gang qui a travaillé sur ces projets. Mais s’il y a une occasion où l’expression « ne pas s’assoir sur ses lauriers » se prête bien, c’est bien là. On va continuer à faire de l’excellent boulot à la sauce NOFOLO. Boomerang ou pas.

Le nez collé sur l’arbre

Ouf, dur dur d’être un blogueur ces temps-ci. Je termine un sprint suite à une triple traversée du Sahara sans eau et dans un suit de skidoo pourchassé par des talibans qui croient que je suis Georges Bush. En effet, nous (Nofolo, les gens de l’Office de tourisme de Québec, Amalgame, Zengo, etc) avons bossé fort ces derniers temps sur le nouveau site Internet de l’Office. Mais j’y reviendrai dans quelques jours, le temps de replacer mes idées.

Se replacer les idées?

Oui! Quand on s’investit à 100% dans un projet sans compter les heures, on oublie le reste. Ce blogue en a pris un coup dans les dernières semaines. Je n’étais pas capable de réfléchir pour penser un texte. Je n’avais qu’une chose en tête : Le projet OTQ. Et ce n’est pas seulement le blogue. Les loisirs, les corvées, etc. À un point tel que mes enfants commençaient à m’appeler mononc. Ça en dit long…

La seule chose que je n’ai pas négligée, c’est le jogging. Mais j’ai développé deux tendinites aux talons pour être certain que je ne fasse rien d’autre que travailler! Heureusement qu’il me reste le martini du vendredi

Lire la suite de « Le nez collé sur l’arbre »

Bonne chance ou bon succès?

« Bon succès à ceux qui ont étudié. Bonne chance aux autres ».

Cette phrase, ma professeure de statistiques à l’université nous la disait avant chaque examen. C’est tellement plein de bon sens que ça m’a marqué. Parce que ça en dit beaucoup sur les efforts que l’on met sur la tâche. Rare sont ceux qui subissent un échec total en ayant travaillé fort. Mais nombreux sont ceux qui ont besoin de chance quand ils sont paresseux.

Après 3 marathons dans le désert

Demain sera le lancement d’un gros projet qui anime Nofolo depuis des mois. On travaille comme des forcenés pour assurer plus que seulement la réussite du projet, mais pour livrer un produit dont nous serons fiers.

Lire la suite de « Bonne chance ou bon succès? »

Ces amis Facebook qui traînent dans le pipeline

À l’instar des instructions qui attendent dans le pipeline du microprocesseur d’être traitées, j’ai un pipeline d’amis sur Facebook. En effet, lorsque je reçois des demandes d’amitié (friend request) d’inconnus, je ne les ignore pas automatiquement. Je les laisse mûrir un peu. Des fois que j’aurais une bonne raison de les accepter.

Accepter ou ne pas accepter?

Si certains acceptent ouvertement tout ce qui bouge comme « amis », moi je préfère accepter ceux avec qui j’ai un lien, si mince soit-il. J’ai un malaise à ouvrir des trucs persos à n’importe qui. C’est comme avoir un inconnu dans le divan de mon salon qui met ses pieds sur moi. Et ce n’est pas faute de chercher car je prends généralement 1 ou 2 minutes à me demander qui est cette personne qui veut m’avoir dans ses amis.

Lire la suite de « Ces amis Facebook qui traînent dans le pipeline »

Le défi de l’analytique social

J’ai eu une discussion avec mes collègues à propos de la notoriété de mon blogue. La question : savoir quelle visibilité mon blogue amenait à ma boîte Nofolo versus la visibilité que Nofolo amène à mon blogue? En bon scientifique que je suis, j’aime vérifier mes hypothèses. Malheureusement, je me frappe à un tableau de données incomplet.

Les données disponibles

Si on veut comparer l’impact que l’un a sur l’autre, on a les clics de mon blogue vers le site de Nofolo, sa page Facebook ou son compte Twitter. J’ai aussi le nombre de clics à partir du fil RSS vers Nofolo via Feedburner. Ça donne une bonne idée. Je peux également savoir combien de gens ont cherchés Nofolo et qui sont tombés sur mon site (Dans ce cas, +1 pour Steph qui siphonne du trafic à Nofolo! Et j’ajoute qu’il y a même eu une recherche « phénomène web nofolo ». Quand même!).

Lire la suite de « Le défi de l’analytique social »

La pensée entrepreneuriale « outside the box »

Je vous donne un budget de 5$ et deux heures pour le faire fructifier. Vous faites quoi? Prenez deux minutes pour y réfléchir sans regarder le vidéo et écrivez votre réponse dans les commentaires si vous êtes game… Mais je sais très bien que vous n’aurez même pas lu ce paragraphe que vous serez déjà sur la vidéo :


(Vidéo tirée de cet article d’après un tweet de Ben Yoskovitz)

Je l’avoue, j’ai été très surpris des réponses. C’est lorsqu’on entend des idées simples qu’on se dit « ha ben oui, stivident! ». Mais avouons-le, la dernière idée est vraiment excellente et personne n’y a pensé. C’est ça sortir du cadre, voir plus loin. Quand ça m’arrive, je me trouve brillant. Quand ça arrive à un autre, je m’en veux de ne pas y avoir pensé.

Lire la suite de « La pensée entrepreneuriale « outside the box » »

Le Web et la clause de non-concurrence

À l’époque, c’était facile. Les propriétaires d’une entreprise qui signaient leur convention d’actionnaires se souciaient peu de la clause « standard » de non-concurrence. Généralement, quand un actionnaire se retirait de l’entreprise, il lui fallait éviter de faire concurrence à son ancienne entreprise dans un rayon de X kilomètres. Par exemple, l’ex-actionnaire d’une roulotte à patates de Québec pouvait aller à Lévis pour continuer son métier.

Aujourd’hui, avec le Web, c’est plus compliqué. Beaucoup plus compliqué. La notion de territoire est beaucoup plus floue. La notion de champ d’activité également. J’ai appris à la dure lors de ma vente à Francité en 2000. J’ai appris qu’une clause de non-concurrence à propos du Web n’est pas comme celle de la roulotte à patates. Du coup, je réalisais que je ne pouvais plus faire de Web pendant 2 ans. Simple de même.

Le territoire

Le Web, c’est mondial. On peut être à Pékin et concurrencer directement une entreprise ayant pignon sur rue à New-York. Est-ce que la zone physique de non-concurrence devrait s’étendre sur toute la planète? Est-ce que le territoire à encore un sens? Est-ce déraisonnable de mettre plus de 200 km de rayon?

Lire la suite de « Le Web et la clause de non-concurrence »

Technologie et religion

J’ai rencontré un apôtre de Ubuntu hier au Swaff. C’était le lancement du Ubuntu 9.kekchose en même temps que le Swaff. Le gars, bien que sympa, était bel et bien un apôtre de la secte Ubuntu. Ils sont faciles à reconnaître, eux, comme les disciples de Microsoft, de Mac ou autre.

Comment les reconnaître?

C’est simple. Il suffit de demander à l’apôtre pourquoi j’utiliserais Linux alors que je suis un utilisateur de Microsoft satisfait de .Net, SQL Server et autre. La réponse est généralement pleine de bon sens : « Windows c’est dla marde. ». Avoir su…
Lire la suite de « Technologie et religion »

SWAFF d’Halloween, ce soir @ MO

Je vous rappelle que la SWAFF d’Halloween, c’est ce soir chez Mo! Une rumeur court qu’il y aura du chocolat pour l’occasion. Je n’en sais pas plus. 😉

» Le groupe Facebook
» La page de l’événement sur Facebook

SWAFF c’est quoi?

Le but des soirées Web & Affaires est de jaser Web et business lors d’un 5 à 7 dans une ambiance informelle avec des passionnés et curieux. C’est gratuit, vous ne payez que vos consommations.

SWAFF c’est pour qui?

Ça s’adresse à quiconque s’intéresse de près ou de loin aux affaires électroniques, c’est-à-dire à faire des affaires avec Internet. Du néophyte à l’expert, employé, directeur des TI ou des comm, pigiste, consultant, entrepreneur, etc. Tout le monde est le bienvenue quoi!

À ce soir!

Web analytique, sauce client et sauce fournisseur

C’est probablement le cas dans bien des domaines où les statistiques sont utilisées : Elles servent surtout à étudier des événements passés, à faire un bilan, une rétroaction, etc. Bref, à mesurer si ce qu’on a fait était dans le bull’s eye ou non.

Malheureusement, quand on joue avec le passé, l’inconvénient est qu’on ne peut pas revenir en arrière. Avec les statistiques Web, c’est fréquent d’entendre « ha, ça n’a pas été mesuré. Il aurait fallu le prévoir au départ ». Le fournisseur n’a pas tort sur le fond, le client est en maudit.

Le fournisseur

Dans le monde du Web anal (Web analytique dans le jargon des initiés), le fournisseur veut bien faire les choses. Donc il voudra planifier soigneusement sa collecte de données pour pouvoir analyser les bons nombres et tirer les bonnes conclusions.

Lire la suite de « Web analytique, sauce client et sauce fournisseur »