C’est ça que ça donne quand un artiste ose venir à un yulbiz-Québec. Personnellement, j’adore! C’est le résultat du talentueux Denis Chiasson de Chic Québécoeur. J’aimerais avoir autant de talent…
Sinon, pour ceux qui se le demandaient, je suis de retour sur la planète Web suite à un déménagement et un sevrage d’Internet pendant plus de 4 jours. C’est abominable. Et je ne vous décris pas l’angoisse et l’horreur de ne pas pouvoir prendre ses mails pendant aussi longtemps…
Pour faire suite à mon billet d’hier sur le fameux ebook pour devenir riche sur l’Internet, disons que c’est plus décevant que ce à quoi je m’attendais. Et encore, mes attentes n’étaient pas élevées, loin de là.
Alors, comment pourrais-je bien résumer ce ebook. J’hésite entre arnaque et perte de temps. Disons un mélange des deux. Le ebook pour devenir riche sur l’Internet est une perte de temps qui enseigne l’art de l’arnaque. Ouais, c’est bien résumé.
Le concept pour devenir riche sur l’Internet
En tant que tel, le concept n’est pas idiot, mais il quand même peu réaliste. Le concept est de viser des revenus de 100$ par jour. Ce qui donne 3000$ par mois. Ce n’est pas énorme et donc réalisable. Comme c’est difficile d’avoir un site qui rapporte 100$ par jour, l’idée est de faire 100 sites qui rapportent 1$ par jour. Logique, non?
Lire la suite de « Un ebook pour devenir riche : Le résumé »
J’ai téléchargé un de ces fameux ebook qui enseigne au petit peuple comment devenir riche sur l’Internet sans ordinateur, sans formation, sans éducation, sans investissement, sans connaissances et sans y mettre du temps. Oups, non, ça prend un ordinateur pour aller sur l’Internet. Mais sans plus.
Je disais? Ha oui, que je j’ai téléchargé un de ces fameux ebook qui enseigne au petit peuple comment devenir riche sur l’Internet. Évidemment, je n’ai pas payé. Contrairement aux gens qui sont aveuglés par le désir de devenir riche en 24 heures, j’ai pris un peu de temps pour chercher un de ces fameux ebook. On trouve de tout sur Internet. Souvent gratuitement en plus. Ce n’est pas en dépensant qu’on devient riche, non?
Je viens tout juste de l’ouvrir et après avoir parcouru deux pages, ça mérite un billet. En fait, deux petits paragraphes du disclaimer en disent long.
Lire la suite de « Un ebook pour devenir riche : Le préface »
Au dernier Yulbiz-Québec, nous avons eu un échange intéressant au sujet du rendement des blogues d’affaires. En gros, la question était qu’est-ce que les blogues ont rapporté en contrats et/ou pognon directement.
On sait bien que le blogue est une belle fenêtre de visibilité pour son auteur. Une sorte de branding personnel qui remplace les pages de publi-reportages dans le journal. Par conséquent, il y a sans doute des bénéfices indirects. Mais que dire des revenus directs?
Pour ma part, voici une analyse du ROI par rapport aux revenus tirés directement de ce blogue au cours de la dernière année :
Lire la suite de « Quel est le retour sur investissement (ROI) de ce blogue? »
C’est vendredi, il fait beau et tu n’as pas envie de travailler? Pourquoi ne pas jouer aves des tizavions? Jeu relax, quelques pitons et le spacebar pour tirer sur tout ce qui vole. Rien de mieux pour chiller et perdre un peu de temps en ce vendredi ensoleillé.
Le Yulbiz-Québec se tiendra au Boudoir Lounge ce soir, 17 avril à 17h30.
Professionnels et amateurs du Web, blogueurs d’affaires intéressés par les affaires électroniques sont les bienvenus.
J’adore cette phrase de John Wanamaker (un type connu comme le père de la pub moderne) : « Half the money I spend on advertising is wasted; the trouble is I don’t know which half. »
Quand on pense à cette phrase dans un contexte de marketing Internet, ça fait sourire. Rire même. Pensons à toutes ces campagnes de bannières vendues au CPM qui coûtent des fortunes (sans compter la conception, la part de l’agence et autres frais) et qui ne rapportent directement que des pinottes. Et encore.
La bonne nouvelle est que contrairement à l’époque de M. Wanamaker, où il n’y avait pas d’Internet et encore moins pubs bannières vendues au CPM, il est aujourd’hui possible de mesurer la performance des campagnes publicitaires en ligne.
Lire la suite de « Et vous, quelle moitié de vos dépenses publicitaires est du gaspillage? »
Tiens, je viens de voir que mon compteur de commentaires spams bloqués vient de dépasser le cap du 30 000. Sur une période d’environ un an, c’est beaucoup. C’est entre 50 et 100 par jours. Et dire qu’avant, je filtrais ça manuellement…
À en croire le graphique de commentaires spam vs non-spam d’Akismet, je ne suis pas le seul à avoir plus de spam que de commentaires. Quelle plaie cette merde.
Merci Akismet!
Décidément, même après m’être fait spammé la semaine dernière, en avoir parlé ici même et avoir demander de retirer mes adresses emails de leur liste de spam, j’ai reçu 3 nouveaux messages de spam aux mêmes adresses emails. De qui? De ce cher Michel! Qui d’autre!
Dans le bas du message, on peut y lire ceci :
« Tous les courriels dont nous disposons ont été recueillis au fil des dernières années soit par contact téléphonique, la consultation d’un site Internet, en personne ou par référence. En tout temps, vous pouvez nous signaler votre intention d e ne plus recevoir nos communications. Vous devez nous le signaler par courriel , merci. »
Écoute bien mon Michel, vous n’avez pas pris mes emails dans un contact téléphonique puisque nous nous sommes jamais parlé. Ni dans la consulation de mes sites Internet puisque ces emails ne sont pas affichés. Par référence? Mon oeil. Non mon Michel, je gagerais plutôt que ces emails ont été construits de toutes pièces. Vous prenez des noms de domaines, ajoutez « info@ » devant et spammer à tout vent. Je pense que c’est ça, Michel, que vous avez fait.
Le Québec et le Canada, c’est le tiers monde du mobile, c’est connu. Mais c’est toujours plaisant d’en parler, des fois qu’un V-P marketing d’une de ces entreprises tombe sur mon billet et apprenne avec horreur qu’ils offrent les forfaits cellulaires les plus dispendieux de la planète. Ça me rappelle les forfaits Internet 10h/mois qui coûtaient 50$ par mois en 1996.
À ce sujet, il y a plusieurs commentaires intéressants sur un billet d’Isabelle Lopez sur les frais ridiculement élevés des plans Internet mobiles des compagnies telles que Telus, Rogers, Bell Mobilité, Virgin, Fido et Vidéotron.
Voici ma compréhension du marché mondial du Web mobile et de ces coûts :
Asie : Ultra utilisé, coûte des pinottes
Europe : Très utilisé, coûte des pinottes
Etats-Unis : Très utilisé, coûte des pinottes (forfait iPhone 60$ tout compris, illimité)
Canada : Peu utilisé, coûte un bras et une jambe.
Lire la suite de « Telus, Rogers, Bell Mobilité, Virgin, Fido et Vidéotron, le cartel du mobile? »
