Yulbiz-Québec ce soir à 19h, à la Taverne Urbaine Chez Mo.
» Plus d’infos sur le groupe Yulbiz-Québec sur Facebook
Alors, blogueurs d’affaires / web entrepreneurs / geeks / VC / curieux intéressés à jaser dans un esprit informel et convivial de business / techno / web / affaires électroniques / e-marketing, etc, c’est un rendez-vous!
Voici les indications :
Un nouveau venu dans le monde des blogues d’affaires auquel j’aurai le plaisir de participer avec Vincent Gibara et Philip Boumansour : Version 6.2.
C’est quoi ça, Version 6.2?
Bonne question. J’ai jamais demandé à Philip ça sort de où ça, Version 6.2. Pourquoi pas Version 2 Bêta? Mais bon, on s’en fout du nom. C’est le contenu qui importe.
C’est quoi le but de ce blogue?
Un blogue d’affaires, ça a plusieurs avantages dont celui de faire connaître ses auteurs et les services professionnels de leur entreprise par la bande. Tout ça en plus de créer des liens, informer, vendre, etc. Si vous n’êtes pas convaincu des bienfaits d’un blogue d’affaires, cette lecture pourrait vous intéresser.
De plus, parce qu’il ne faut pas se prendre trop au sérieux, il y a une section avec la photo du jour. C’est le genre de truc qui fidélise bien un auditoire. Finalement, on fera une revue de presse de l’actualité qui touche aux affaires électroniques.
Mais Steph, tu dilues pas trop ton contenu?
Non. Comme sur MancheCourte où je vais bloguer dans une humeur de soirée entre potes, sur Version 6.2 se sera plus des articles informatifs axés sur la vulgarisation des affaires électroniques, le e-marketing, le web analytique, la stratégie et la gestion. En fait, ce sont les articles de Percute qui seront maintenant sur ce blogue.
Sur StephGuerin.com, ce sont plus des éditoriaux d’affaires. Éditoriaux = opinions. Oui, ça peut se rejoindre, mais c’est assez différent pour en faire deux blogues. Bref, le contenu de l’un n’irait pas dans l’autre.
Ironiquement, j’annonçais un ralenti dans mon inspiration de blogueur. Comme quoi il faut combattre le feu par le feu ou bien il faut bloguer pour combattre la page blanche?
Mon inspiration de blogueur volubile est au ralenti ces temps-ci. J’écris, mais je ne me trouve pas intéressant alors j’efface et je recommence ou j’efface et je glande. Il y a des moments de même dans la vie d’un blogueur. Heureusement, il y a toujours une BD de Dilbert pas loin pour me donner une bonne leçon de vie. Vite, un café!
Qui a dit que parce que c’était social, tout le monde devait être accepté dans un réseau? Après les sites généralistes et grands publics, il y a de plus en plus de réseaux sociaux exclusifs. Réservés par exemple aux « belles » personnes, aux gens brillants, aux professionnels cadres et pourquoi pas, être exclusif juste pour être exclusif.
Business Week à dressé une liste. En voici quelques uns que j’ai trouvé intéressants.
A-Space
Un site pour la CIA et autres organisations de renseignements américains. Je doute que la Syrie, Iran, Cuba et compagnie fassent partie de la liste des pays à l’inscription…
Un réseau social très très exclusif avec ses 100 membres. 7000 applications, 100 membres. C’est aussi exclusif que le célèbre studio 54. Une fois accepté, on paie 60$ par mois pour réseauter avec la crème de la crème.
Enfin, depuis de le temps qu’on veut lancer ça. Plus d’un an en fait. Ça remonte à nos podcasts de Clinquement Chill ou une de ces soirées de boisson si je ne me trompe pas. Mais bon, voilà que notre shop de t-shirts est lancée : MancheCourte.com
Quoi, une shop de T-Shirt? C’est pas débile comme idée ça?
Oui. On n’a rien inventé non plus. Et il faut dire que l’on s’est inspiré beaucoup du succès de Lafraise. Mais au Québec, il ne se passe rien de ce côté. C’est le calme plat puis on ne trouve rien à notre goût. Commander chez LaFraise à partir du Québec? On se tape la gueule sur des problèmes de livraison et des raisons insignifiantes… duh! Internet est un marché global, non? Global mon oeil si on ne peut pas se faire livrer un T-Shirt au Québec.
Et c’est quoi votre concept au juste?
Bien, disons que c’est 3 potes qui bloguent (lui, lui et moi), qui chillent un max et qui ont besoin de T-Shirt. 2+2=5 alors on se fait un blogue où l’on vend des T-Shirts? Excellente idée! En plus que l’on a un chômeur à notre service pour tout monter alors que moi et Mo glandons un max, prétextant un surplus de job.
Alors on veut sortir un nouveau T-Shirt sur une base régulière, en quantité limitée parce qu’on ne veut pas que tout le Québec porte nos T-Shirts quand même! Vos idées et concepts sont les bienvenus.
Pis si ça marche pas?
Bah, c’est une entreprise sans prétention que l’on fait pour s’amuser. Puis pour le peu que l’on risque… Le pire qui peut arriver est qu’on reste pogné avec une batch de t-shirts. Dans ce cas, les cadeaux de noël des enfants seront déjà achetés pour les prochaines années…
Pis si ça marche?
Ça veut dire que j’aurai des T-Shirts à mon goût pendant un bon moment. On est jamais si bien servi que par soi-même, non? Mais si ça marche vraiment, je fais une édition spéciale avec ma tronche et mes deux pouces. Ça fera un tabac, j’en suis certain!
Bref, comme pour tout lancement de projet, on est fébrile et on sent qu’on aura du fun à bloguer dans une ambiance décontractée. Vos critiques, commentaires, fleurs et pots sont appréciés. Sans oublier vos achats de T-Shirts! 😉
UPDATE:
Suite au questionnement de plusieurs, Chris me confirme qu’on livre bel et bien en France. Avis aux intéressés!
Dans le rayon des startups imbéciles, on doit donner une mention spéciale à Chacha qui vient de récolter 10 M$ en financement! C’est quoi Chacha? C’est un outil de recherche où peut avoir des résultats de recherche plus pertinent avec l’aide d’un guide. Ce guide est une vraie personne. Regardez la discussion dans l’image à gauche. Regardez la fin de la conversation. Ça en dit long!
Je n’en dis pas plus, allez faire un tour sur Techcrunch et lisez les commentaires sur le sujet. Marrant!
Le plus triste, c’est qu’une telle startup ait réussi à recevoir 10 M$ en financement. C’est vraiment l’extrême en comparaison à chez nous. Ici, pas moyen d’avoir du financement sensé sans mettre sa maison, sa femme et les enfants en garantie ou sans faire d’étude de marché pendant 2 ans, là bas ils donnent des millions pour des projets ridicules. Incroyable…
Une autre édition de Yulbiz-Québec aura lieu mercredi prochain, le 21 novembre à 19h à la Taverne Urbaine chez Mo, boul. Charest.
Le Yulbiz-Québec du mois de novembre sera exceptionnellement un mercredi pour souligner le lancement du livre « Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires ». Pour l’occasion, des auteurs de ce livre seront présents.
» Plus d’infos sur le groupe Yulbiz-Québec sur Facebook
Alors, blogueurs d’affaires / web entrepreneurs / geeks / VC / curieux intéressés à jaser dans un esprit informel et convivial de business / techno / web / affaires électroniques / e-marketing, etc, c’est un rendez-vous!
Voici les directions sur Google Maps
C’est quoi le buzz ces temps-ci avec ACN? J’ai dû recevoir une vingtaine de email me proposant l’opportunité du siècle, comment devenir riche en quelques jours. Dans tous les cas, c’est ce truc pyramidal ACN qui m’est proposé.
ACN c’est quoi? C’est une entreprise pyramidale, de marketing de réseau, de marketing à palier multiple ou multi-level marketing pour ceux qui n’aiment pas le concept de pyramidal. Toujours est-il, pour ACN comme les autres trucs attrape-nigauds, on est son propre patron et on monte son propre business. Dans ce cas-ci, ce sont des produits téléphoniques. Dans d’autres, c’est du savon, des bijoux, des produits naturels, etc.
Qu’est-ce qu’il faut faire pour être riche avec ce truc? Avoir bien du temps, de la motivation et ne pas avoir peur du ridicule. À l’époque, j’ai testé ce fameux réseau très connu qu’est Amway. J’ai pu apprendre comment ce genre de secte fonctionne. Bien que je n’ai pas fait une cenne, j’ai appris les rudiments de base de la vente. C’est au moins ça de gagné. Sinon, j’ai perdu mon temps à faire des présentations pour un truc que je ne croyais pas du tout. Mais bon, faut bien essayer.
Parler ou naviguer, mais pas les deux en même temps, les pagettes, les imprimantes à aiguilles qui font un bruit d’enfer, les disquettes 3’5″, Internet basse vitesse avec les images désactivées par défaut, les téléphones portables inexistants, connexion limitée, AOL et sans oublier ce bon vieux windows 3.1! Voici ce qu’aurait été la vie de Jack Bauer au début des années 1990…
Via business garden
On parle souvent de la pluie de dollars qui tombe sur les startups de Silicon Valley. On parle souvent que ce lieu est la place sur la planète pour lancer une startup hi-tech. Mais outre celles très connues, quelles sont les dizaines d’autres startups qui reçoivent du financement? Que font-elles?
En fait, il y en a vraiment pour tous les goûts. J’aurais bien fait une liste, mais il y en a tellement que j’y passerais la journée. Il y a juste trop d’investisseurs qui financent trop de startups. Ce n’est pas une réalité que l’on connaît ici, au Québec disons…
Mais bon, pour donner une idée de qui se fait financer, vous pouvez aller faire le tour de ces quelques sites :
On se rend compte qu’il y en a vraiment pour tous les goûts. De la simple startup web 2.0 de fond de sous-sol à l’entreprise hi-tech en nanotechnologies.
