Ça fait déjà un peu plus d’un mois que je me suis remis à Twitter. À vrai dire, c’est plus concluant qu’il y a deux ans alors que je me faisais emmerder par des histoires personnelles insignifiantes de gens qui le sont tout autant. Depuis ce temps, ça a évolué un peu. Moi aussi d’ailleurs.
De bois mort, du poisson et de la rivière
S’il y a toujours autant d’inepties, il y a cependant du bon que je m’efforce de découvrir. Michelle cite souvent un type dont j’oublie le nom que twitter est une rivière d’infos à laquelle il faut s’abreuver et non essayer de boire au complet. C’est plutôt vrai.
L’eau coule vite dans la rivière
Je ne suis même pas 100 personnes encore et je trouve ça difficile de garder le fil. Ça gazouille trop pour tout capter l’info intéressante. Un peu comme dans une SWAFF où j’écoute mon interlocuteur, mais que j’entends des mots clés intéressants dans d’autres conversations.
Les poissons se cachent
J’aurais pensé que c’était plus facile de découvrir des gens sur Twitter. Il doit avoir moyen de relier les gens aux mêmes intérêts plus facilement. Jusqu’à présent, la meilleure façon que j’ai trouvé est de scanner les personnes qui sont suivies par celles que je suis. Ça fonctionne, mais c’est inefficace question temps.
Les poissons bavards prennent beaucoup de place
D’une part il y a ceux qui ne disent rien et de l’autre, il y a ceux qui ne parlent sans arrêt. Est-ce seulement moi ou bien il y a des gens qui passent leur vie sur facebook et twitter à raconter leur vie? Ces gens sont sur le chômage ou bien ils sont si efficaces à gagner leur vie qu’ils peuvent twitter sans peur du lendemain?
Bref, c’est tout de même amusant twitter. Mais comme facebook, il faut trouver le bon calibrage pour en faire une utilisation saine, sensée et profitable. Du moins dans une perspective professionnelle comme je l’entends. Sinon, ça devient vite le bordel. À suivre.