Honnêtement, qui ne reconnait pas un ami, ex-collègue ou soi-même dans ce Dilbert? On connaît tous quelqu’un qui n’osait pas changer de job, mais qui après s’être fait viré a trouvé le job de ses rêves.
Et pour ensuite continuellement répéter « Avoir su, je serais parti avant ».
Ça s’applique aussi aux relations amoureuses boiteuses, mais ça c’est un autre sujet.
Mesdames Sécurité et Stabilité sont bien gentilles, mais sont plutôt grognasses au point de nous empêcher de bouger par peur de les perdre. On aime tous le petit confort douillet, quitte à endurer des trucs qui ne nous plaisent pas pendant des années.
Pourtant, on devrait faire plus connaître les récits de ceux qui ont survécu au changement pour le mieux. Par pur feeling non scientifique, je dirais que c’est la majorité qui passe le changement avec un sourire et une fierté renouvelée.
Pour plusieurs, le coup de pied aura été de perdre leur emploi qu’ils n’auraient pas laissé. Restructuration, fermeture, moins de contrats, etc.
C’est un coup dur, mais ça force à sortir de sa zone de confort. De réfléchir à son avenir. De se mettre à niveau dans son domaine. De considérer de vieux rêves longtemps mis sur la glace. D’organiser un changement de carrière. Etc.
« This might be the wake-up call that spurs him on to greatness while I work myself to death in this cubicule »
Pensez-y!