2000 abonnés

Quelle bonne surprise, je viens de voir que j’ai passé le cap du 2000 abonnés à mon fil RSS. C’est peu comparé des blogues anglophones qui ont 100 000 abonnés et plus (Techcrunch en a 850 000+), ou encore des blogues francophones comme Presse-Citron, 2803 ou Descary, mais c’est relativement élevé pour un blogue d’affaires francophone.

Perso, je donne quand même de l’importance à cette statistique puisqu’elle démontre un certain intérêt envers mon contenu. On a beau dire qu’on blogue pour soi, c’est toujours agréable de voir qu’on est pas seul à se lire! 😉

L’évolution du nombre d’abonnés au fil du temps:

Question d’attitude

Devant un même problème, pourquoi une personne se décourage immédiatement alors qu’une autre l’aborde comme un défi qui le motive? Même si le problème n’est pas impossible et que la première personne a autant la capacité de réussir que la deuxième.

Encore dernièrement, j’ai croisé des gens avec une vision négative. Avant même d’essayer, ils se mettent des barrières psychologiques. J’aime bien l’exemple du mur devant soi. Avec une attitude négative, on se dit :

Ha non, je ne serai pas capable de monter ce mur. Il est bien trop haut.

Pourtant, certaines personnes, pas plus brillantes que les autres, voient les défis d’un autre œil :

Ouais, il est haut ce mur, comment vais-je passer par-dessus?

Et hop, ils essaient n’importent quoi pour grimper ce mur, mais ils essaient. Et s’ils ne réussissent pas, la déception est minimisée par la satisfaction d’avoir essayé.

On me parle d’échecs alors que ce ne sont pas des échecs, mais des apprentissages. J’aime bien l’idée qui dit que pour augmenter son taux de réussite, il faut doubler son taux d’échecs.

Je ne sais pas si ça vient du temps que je jouais au football (vous savez, à 155 lbs, ça fait peur de se mesurer à un type de 220 lbs), mais j’ai appris à réussir ou au moins, à essayer (le type de 220 lbs m’a planté plusieurs fois ce qui ne m’a pas empêché de le clouer à terre à quelques reprises et ça, c’est très très très satisfaisant!).

Bref, comme je le dis souvent, c’est dans la tête que ça se passe. Je ne dis pas que tout est facile, mais l’attitude devant le défi fait une énorme différence. Parlez-en aux athlètes qui sont présentement aux olympiques. Et vous, quelle attitude avez-vous?

C’est vendredi, tuons (encore) des zombies

Tiens tiens, ça faisait un bon moment que je n’avais pas fait de spécial vendredi. Quoi de mieux pour s’amuser en cette journée moche et pluvieuse que de tuer des zombies maniaques? C’est une autre version du jeu Boxhead que j’aime particulièrement. Celui-ci, The Zombie Wars est assez intense. J’ai essayé d’essayer au niveau « Nightmare » et ce n’est pas vraiment recommandé pour les enfants.

» Tuons des zombies

Vendre mon nom de domaine un million à Google? Pas question!

Qui dirait non à Google pour vendre son nom de domaine en échange d’un beau paquet de dollars bien sonnants? Peu de gens certainement, mais c’est le cas d’une petite entreprise d’appareils de nettoyage à la vapeur qui se nomme… Knol!

On peut lire sur le site de l’entreprise:

NOTE: We sell steamcleaning equipment and don’t sell our domain!!

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10 investissements qu’on aurait souhaité faire

Intuit, via son site Quicken, a sorti une liste de 10 compagnies qui ont eu des rendements à faire rêver et/ou à envier ceux qui ont pris la chance. Je trouve ça intéressant dans la mesure où c’est toujours possible de faire un tas de fric en achetant les bonnes actions au bon moment. Et surtout en les revendant au sommet de leur valeur.  Une dose de chance, une dose d’intuition et un soupçon de flair et voilà, on est riche.

En comparaison, Google qui, j’aurais pensé, n’est pas dans ce classement, ne vaut que 700$ pour une action achetée à 100$ au début. C’est peu comparé à 100$ investi dans Franklin Resources en 1984 qui vaudrait 64 000$ aujourd’hui. Voyons voir où se situera Google dans une quinzaine d’années.

Par ailleurs, ce genre de décompte est toujours une bonne idée pour créer un effet viral. Celui-ci à fait la première page de Digg. Gros rendement pour peu d’investissement!

Pagination des commentaires

Bon, un moment donné, ça suffit! J’ai ajouté un plugin de pagination des commentaires pour éviter que les pages avec plusieurs commentaires aient 3 km de long et prennent 10 minutes à charger. 

Bien que la majorité de mes billets aient moins de 30 commentaires,  quelques billets plutôt populaires sont devenus un lieu de débats et d’échanges sur ACN entre les gens anti-ACN et ceux pro-ACN, même après plusieurs mois. Merci Google de me placer au 2e rang sur le mot clé ACN, tout juste derrière l’entreprise elle-même!

Faire de l’argent avec ACN? Non merci : 363 commentaires!
Devenir riche avec ACN et détester Steph : 178 commentaires
Devenir riche avec Internet sans se fatiguer : 76 commentaires
Steph, la couille dans la soupe d’ACN : 26 commentaires
Quels sont les revenus annuels moyens chez ACN? : 17 commentaires

Beaucoup d’amis, mais où sont les dollars?

C’est pas parce que ce blogue est en mode « c’est l’été, on chill un max » qu’il faut arrêter de penser au business et à faire du fric. Parlant de fric, voilà un article intéressant sur les réseaux sociaux et leurs revenus : Many New ‘Friends’ to be Made Online, But What About Dollars?

À eux seuls, MySpace et Facebook ont 73 et 37 millions (tiens, les même chiffres, mais inversés, étrange…) d’utilisateurs selon ComScore. J’imagine que quelques uns sont redondants dans ce décompte. Mais bon, ça fait tout de même un joli paquet de personnes. Un gros marché potentiel. A big market comme dirait l’autre.

Si on se rappelle que Facebook a été valorisé à 15 MM$ avec la participation de Microsoft, quoi penser lorsqu’on prévoit des revenus de 350 M$ pour 2008 (avec un trou de 150 M$ dans le cash flow)? On est loin de la machine à imprimer des billets comme Google et ses 10 MM$ de revenus après seulement deux trimestres en 2008.

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Pirater son compteur Feedburner en deux minutes

Je savais qu’on pouvait pirater son compteur Feedburner (le petit truc à droite qui dit que j’ai 1817 abonnés à ce blogue). Mais je ne savais pas que ça pouvait être si simple avec Netvibes:

Évidemment, faut être taré pour se créer artificiellement une pseudo popularité, mais des gens en manque de créativité, d’attention ou seulement en manque de persévérance pourraient être tentés. Heureusement, la réalité finit toujours par rattraper. Un blogueur insignifiant qui a un compteur de 30 000 abonnés restera un blogueur insignifiant. Il sera tout simplement seul dans son coin à fabuler sur sa popularité…

Via Techcrunch et Next Web

Cuil et le tout-puissant Steph

Je viens de découvrir Cuil, le Google Killer dont plusieurs personnes parlent sur leur blogue (ici, là et là entre autres). Avant de faire des recherches, j’ai lu la section About us pour savoir qui est derrière, combien ça a coûté, etc.

Qui est derrière? Pas les derniers venus. Plein de monde avec plein de PhD. Combien ça a coûté? Pas si cher. 33 M$ en financement. C’est pas énorme si on compare à d’autres startups.

Et le Google Killer, il fonctionne au moins?

Et bien non. J’ai fait quelques recherches dont mon nom, bien évidemment. Mon blogue ne sort pas sur la première page (je n’ai pas regardé plus loin), mais mon profil LinkedIn sort en premier. Et curieusement, on y trouve aussi « Stephane Guerin you are mighty ». Comme quoi la recherche n’est pas bonne, mais le moteur de motivation 2.0 est assez au point.

Sinon, j’ai cherché aussi Percute. Ça me sort beaucoup de « Britney Spears à percuté un arbre ». Ce qui n’est pas vraiment intéressant .Je cherche alors Percute Technologies pour avoir des résultats encore plus insignifiants que Britney Spears.

Bref, c’est pas demain que je vais cesser d’utiliser Google pour Cuil. J’espère qu’ils ont simplement coché la case « Return useless and obnoxious results » par erreur et que les résultats vont s’améliorer au fil du temps. Parce que pour une première impression, je suis gêné pour eux…

Pardon, mais vous êtes qui?

Je dois être trop dans mon monde de geek, mais ça me surprend toujours d’être incapable de trouver des infos sur des gens. Rien. Niet. Nada.

Des personnes m’écrivent et me disent « Super ton blogue, t’as l’air d’un pro, faudra qu’on jase business un de ces quatre ». D’accord, je ne dis pas non à de nouveaux contacts. Mais d’abord, qui sont ces types? (ouais, peu de nanas m’écrivent, surtout des mecs…)

Comme il n’y a généralement peu ou pas d’info dans ces emails en question, j’interroge mon ami Google en tapant les noms. Horreur, je ne trouve rien. Pas de blogue, de compte Twitter et même de profil LinkedIn (un must pour un professionnel du Web ou tout autre wannabe). Même pas un bout de texte qui pourrait me donner envie (ou non) de le rencontrer.

Alors c’est gênant, mais je n’ai pas d’autre choix que de répondre « Pardon, mais vous qui au fait? ». Gênant parce que ça pourrait être un gros big shot d’une grosse boîte et qui pourrait être insulté « Quoi, tu ne me connais pas? Je suis pourtant un big shot! ».

Bref, un petit CV en ligne ou une petit biographie, si brève soit-elle peut être drôlement efficace quand une personne veut savoir à qui elle a à faire. C’est un point de départ pour de bons échanges ou encore, c’est une manière efficace d’éviter des pertes de temps et des rendez-vous insignifiants (des opportunités d’affaires ACN par exemple…). Allez, prenez 2 minutes pour completer un profil LinkedIn. Ça évitera la gêne du « Pardon, mais vous êtes qui? » …