Bienvenue à Jean-Philippe Bonneau chez DashThis

Et bien voilà, on peut l’annoncer officiellement : Jean-Philippe Bonneau, que tout le monde connaît pour son implication comme directeur général à la VETIQ, se joint à moi pour propulser DashThis dans la stratosphère.

Pourquoi un associé?

Historiquement, j’ai toujours eu un associé dans tous mes projets. J’en avais même deux chez Nofolo. Parce que c’est plus l’fun de partager les bons coups à deux. Parce que c’est plus facile de passer à travers les temps durs. Parce que c’est dur de prendre toutes les décisions. Parce que c’est plus crédible vu de l’extérieur (les one man show sont moins bien vu que les équipes équilibrées). Etc.

Aussi, faut se connaître. Je suis un gars d’idées et de preuves de concept. Je suis le scientifique qui s’enferme pour patenter des patentes. Il me manque le côté ventes, développement des affaires et PR.

Pourquoi JP Bonneau?

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Quick update sur DashThis! : Un dashboard minute!

On me l’a demandé. C’était sensé. C’est donc fait: La possibilité de créer un dashboard avec des indicateurs de performance par défaut. Le tout en un seul clic.

Pourquoi?

1- Pour essayer. Ça donne un tableau de bord complet en 1 clic avec des indicateurs de qualité qui sont utile pour n’importe quelle entreprise.

2- Pour partir quelque part. Nombreux sont les entreprises et individus qui ne sont pas à l’aise avec l’idée de créer un tableau de bord. Et c’est correct ainsi.

Un tableau de bord par défaut donne une base, un point de départ pour se faire la main. Rien n’empêche de faire évoluer les indicateurs par la suite.

3- Pour les agences Web non spécialisées en Web analytique. Un dashboard minute, c’est simple, mais ça permet de créer un lien à long terme avec le client plutôt que bêtement le laisser partir avec son compte Google Analytics. En effet, celui-ci ayant accès à des statistiques simples à comprendre sera le premier à appeler son fournisseur dès qu’un indicateur ne sera pas à son goût. Et hop, du repeat business comme on aime.

Le projet Sniffy est en ligne!

Bon alors voilà, le projet Sniffy est en ligne. Après beaucoup de fine tuning et de validation auprès de partenaires / clients potentiels et même avec le maire de New-York (ok, son gars de marketing, mais quand même!), c’est assez mûr pour mettre une première version au monde.

C’est quoi?

Un outil pour générer des dashboards exécutifs pour Google Analytics. Ou tableaux de bord pour gestionnaires en français?

Pour qui?

Pour les gestionnaires des PME. Principalement celles qui travaillent avec des agences pour les travaux Web, stratégie, marketing, SEO, etc.

Pourquoi?

Parce que selon mon expérience, les gestionnaires ne s’intéressent pas assez aux données d’affaires que peut leur fournir le Web analytique. Si on parle en termes de maturité, plusieurs en sont au stade 1 selon le modèle de maturité de Stéphane Hamel. Pire, ils sont perdus et s’attardent trop souvent aux mauvaises données.

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Frotter sa startup au vrai monde

Dire que je voulais lancer Sniffy au début du mois… J’aurai plutôt passé 2 semaines à demander des avis / écouter / re-écouter / encore écouter / parler / raconter / corriger et faire 30 mises à jour par jour. Week-end compris.

À l’époque, j’avais l’habitude de me tirer dans l’eau sans regarder la température. Là, ça doit être à cause de mon âge qui me rapproche de la sagesse, j’ai décidé de ne mouiller que mon petit orteil pour voir la température.

Et ce fut sans aucun doute la meilleure décision que j’ai prise depuis longtemps!

Primo, parce que j’ai corrigé plusieurs bogues gênants rapportés par des clients potentiels. Surtout alors que j’espérais en mettre plein la vue. Dur de voir la forêt quand on a la tête enfoncée dans un tronc d’arbre. Heureusement, les gens sont indulgents envers ceux qui essaient.

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Même pas lancé et déjà 25 employés!

Même pas lancé et déjà 25 employés dans les bureaux les plus techno-startup-chill-buzz en ville. Et c’est vrai ça Steph? Ben non, c’est tout faux. Mais c’est ce qu’on veut que tout le monde croit quand on lance une startup.

No way qu’on veut avoir l’air d’une bande de zigotos, 1, 2 ou 3 fondateurs et un pigiste dans un sous-sol miteux. Qui voudra payer pour nos services alors qu’on a aucun standing? Il faut avoir l’air pro et big pour jouer dans la cour des grands. Comme si c’était mal vu de démarrer.

Pourtant.

Les exemples de compagnies qui ont démarré dans un sous-sol miteux sont nombreux. Google et Apple parmi les plus connues. Possiblement la majorité des startups technos avant d’avoir du financement. Toutes mes entreprises sont nées dans mon vénérable bunker ou dans un appartement cheapo.

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Dernières retouches pour le projet Sniffy

Il ne perd pas de temps le Steph. Plusieurs pensent que je ne travaille pas parce que je suis à la maison en direct du Bunker, mais en réalité je suis en mode hyper-focus-startup-minded. J’oublie même de boire tellement ça roule. Résultat, la première mouture de mon nouveau projet est presque prête!

Sniffy?

Ouais. C’est le nom de code. Je ne veux pas dévoiler le nom maintenant alors j’ai pris le nom d’un toutou à ma fille. En photo ici. Mais c’est le seul lien entre mon projet et le toutou.

Alors c’est quoi ton truc?

Tututu! Mon curieux toi! Patience jeune Skywalker, ça viendra. Cependant, je peux dire que c’est pure play et dans le domaine du Web analytique. Un outil bien simple qui comble un besoin bien réel. Le tout en échange de pognon. Je lance sur un modèle freemium avec l’idée de faire des revenus pronto. Pas question de rêver au truc gratuit qui va se faire racheter par Google.

It’s been a while

En y repensant, ça fait maintenant 4 ans que je n’avais rien lancé. Du moins, pas de mon cru, une patente construite de zéro qui ne sort de nulle part. C’est pourtant ce qui m’animait de 1996 à 2007. Je reviens à mes vieilles amours en somme.

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No more Steph @ NOFOLO

Maintenant que l’annonce a été faite aux personnes importantes, je peux l’annoncer publiquement : C’est ma dernière semaine chez NOFOLO. La raison? Relever de nouveaux défis!

Bon ok, c’est simplifier la chose. Des détails alors. Il y a 4 ans je me suis associé avec le pote Phil avec la flamme du passionné qui allait changer le monde. Le but était de construire projet par-dessus projet. On travaillait fort sans savoir quand allait être notre prochaine paye.

Quand on construit sa propre chance, tout peut arriver. Comme fonder une agence Web. Ce n’était pas dans les plans initiaux du tout, mais la graine a commencé à germer lors du premier Swaff (Web à Québec à l’époque) alors que je rencontrais Phil et Wendy. Deux personnages importants de mon parcours des quatre dernières années.

Passion, occasion, opportunité, timing, culot, audace, chance, savoir-faire, etc. Tout ça a contribué à faire naître NOFOLO, une boîte sorti de nulle part il y a 2 ans, mais qui brasse le marché du Web à Québec. Si nous n’étions pas pris au sérieux à l’époque, gageons qu’aujourd’hui personne n’a du fun à se battre contre NOFOLO dans un pitch.

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Demi-Marathon et périostite

La bonne nouvelle : Mon genou va mieux depuis que je cours dehors. Je pense que mon genou n’aiment pas les intervalles sur le tapis. La mauvaise nouvelle : J’ai une putain de périostite. Ça me l’avait fait il y a quelques années. Ça me le refait là. Sans doute parce que j’ai poussé la machine un peu trop fort.

Depuis mon bobo au genou, j’avais du retard. Pourtant, mes longues sorties allaient bien. Et cette semaine, dans une toute petite demi-heure de course, c’est le calvaire. Si avant mes périostites était larges et inconfortables, là, c’est aigu et localisé. Ça ne me semble pas être une bonne nouvelle. Surtout quand je lis que « Il ne faut jamais négliger une périostite car sa complication directe est la fracture de fatigue. »

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Le repos est aussi important que le boulot

Une brève discussion sur Facebook avec Olivier Labbé m’amène à souligner l’importance de faire autre chose que de travailler. En effet, Olivier se demandait où je prenais le temps pour m’entrainer. C’est vrai que les entrepreneurs ne sont pas réputés pour avoir une tonne de loisirs.

Pourtant.

Je ne lui ai pas dis que je dors 8 heures par jour, que je m’entraine 5-6 fois par semaine dont une ou deux longues sorties le week-end, que je cuisine tous mes repas (ma blonde dira que c’est souvent trop long), que je joue avec mes enfants, que j’écoute des films et séries à la tivi, que je joue régulièrement du drum, que je me tape une tonne de lectures, que je fais des rénos / entretien de la maison. Et le comble, ça fait quelques samedis que je glande parce que je ne trouve rien à faire.

Plus que 50 heures, c’est bon à rien

Et je suis loin de travailler 32 heures par semaine. Ça ressemble plus à 45-50 heures. Plus que ça, je deviens légume. Alors comme j’ai plein de trucs à faire, faut que chaque heure soit productive. Et si ça n’avance pas, c’est que je suis mal organisé.

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Le syndrome de plica


Source des images

Une chance que je mets toujours un bémol quand je dis que je m’entraine pour faire un marathon. Dernière surprise dans la liste des embûches visant à m’empêcher de réussir : Le syndrome de plica. De kossé?

Le syndrome de plica serait un bête pli dans la membrane enveloppant le genou. Tout le monde a un/des plis quand on bouge le genou. Comme une manche de chemise quand on replie le bras. Le problème avec le syndrome de plica, c’est que la chemise reste froissée même avec le bras déplié. Ce qui cause de l’inflammation. Et courir un marathon avec de l’inflammation au genou est une mauvaise idée.

Le plus curieux, c’est que ça ne fait pas mal quand je cours, mais après alors que je suis au repos et que je marche. Drôle de bobo!

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