Exemple de web 2.0 en entreprise

Je suis tombé sur ce truc qui m’a impressionné grandement: ideas.salesforce.com

Ils se servent de la communauté pour faire le plein d’idées. Ce n’est pas nouveau. Ce qui est génial, c’est l’utilisation de système de vote comme Digg.com pour faire sortir les meilleures idées choisies par la communauté! Ainsi, une bonne partie de la job de recherche en marketing est soumise et validée par la communauté d’utilisateurs. Salesforce n’a qu’à retenir les meilleures idées votées par la communauté!!

Personnellement, je trouve que c’est une utilisation brillante d’Internet et de la force de la communauté dans sa stratégie d’affaires.

MLB.com : à faire rougir YouTube

Qui pourrait penser qu’un sport vieux comme le monde tel que le baseball américain pourrait être un leader dans les nouveaux médias? C’est bien le cas avec le site MLB.com (Major Baseball League) de la filiale MLB Advanced Media.

Le site est loin devant les autres ligues de sports professionnels pour l’exploitation d’un media en ligne. Tout est là : Vidéos, archives, statistiques, etc. Le système est tellement bien fait que les statistiques en ligne et les graphiques lors d’un match sont mis à jour avant même que la diffusion à la tv et à la radio dû au délai de transmission!

Mais là où MLB.com se surpasse et devrait faire l’envie de plusieurs acteurs de Web 2.0, c’est au niveau de ses 1.3 M d’utilisateurs payants! Oui, 1.3 million de personnes qui paient entre 10 et 100$ par année pour avoir accès aux statistiques et autre contenu à valeur ajoutée disponible sur le site.

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Zimbra: 100 M$ de chiffre d’affaires

Et bien, je ne savais pas qu’on pouvait payer pour une interface web mail AJAX et que ça rapporte 100 M$ de dollars par année!

Zimbra est une suite d’outils en ligne de communication et de collaboration tout en étant open source. Ils ont plus de 1000 clients, dont Digg et Mozilla et plusieurs gros noms, et 4 M de de boîtes aux lettres payantes… à 25$ par année grosso-modo, ça fait tout de même 100 M$!

Leur point fort: Ils sont loin devant la compétition. C’est donc payant d’innover!

Via techcrunch

Ventes 2.0

Web 2.0, business 2.0 et les ventes 2.0 elles? Les ventes aussi profitent de l’amélioration de la technologie. Un brainstorm en ligne de Dana VanDel Heuvel est très intéressant sur le sujet.

Par exemple, un représentant des ventes a maintenant son blogue, utilise les réseaux sociaux et mettent leur face partout pour avoir l’air plus sympathique, moins « corporate ». Ils ont des outils comme la messagerie instantanée, des outils de planification en ligne, assistants virtuels, etc. Ils sont connectés avec leur black berry et utilisent Linkedin pour être connectés partout. Il est fini le temps où un vendeur se connectait par téléphone à Internet pour regarder ses emails en fin de journée…

Entres autres, voici des domaines affectés par les ventes 2.0:

– Communications par voix (VOIP, cell, Skype)
– Disponibilité du représentant (toujours en ligne)
– Appels conference (gratuits)
– Force de vente intégrée (tout en ligne)
– Communication aux clients (blogging, email)
– Communauté de clients (wiki, jotspot)
– Gestion de projet
– Messaging
– email (mobile)
– Messagerie instantanée (in office, sidekick, etc)
– Pre-call planning / recherche de clients
– Collaboration (blogues internes, wikis, IM)
– etc

Bref, même les vendeurs se mettent au 2.0. Moi qui n’aime pas le terme 2.0, je dois admettre qu’au niveau des vendeurs, on voit un réel changement dans leur façon de faire.

La recette d’une campagne publicitaire virale

Je dis souvent que les recettes magiques en business n’existent pas, mais en voilà une pour le marketing viral qui me semble tout à fait réaliste!

Campagne virale à la sauce québécoise.

Préparation : 3 mois
Cuisson : 3 semaines

Ingrédients :

  • 10 tasses de pertinence 
  • 4 tasses de personnalisation 
  • 2 tasses d’humour
  • 2 tasses d’honnêteté
  • 1 tasse d’orgueil et de fierté pour les internautes
  • une pincé d’actualité

Pour le reste de la recette et la préparation, visitez le blogue marketing interactif.

Un chiffre d’affaires de 5 M$… pour ça?

C’est toujours surprenant de découvrir des web entreprises qui roulent bien, très bien même. Ça l’est encore plus lorsque ça semble une entreprise amateure sortie de nulle part. C’est le cas avec Flylady.net, qui récolte un joli magot de 5 M$ en revenus annuellement. Oui, 5 000 000!

Tout ça a commencé par du coaching personnel par email voilà quelques années. En peu de temps, sa liste de membres a grimpé à 60 000! Elle a ensuite commencé à tirer profit de cette situation. Elle donne des conférences, vend de produits sur son site, etc.

Un coup d’œil sur le site et on juge immédiatement que c’est un site nul. Le design est nul, ça fait très année 1996, Web 0.1 bêta quoi! Pourtant, la madame pourrait donner des leçons pour atteindre le succès sur le web à plusieurs amateurs du Web 2.0.

Tout ceci pour dire que l’important, c’est d’avoir un produit ou un service qui répond à un besoin. Le reste, que ça soit beau ou non, importe moins si le service satisfait la clientèle. Dans son cas, un service sans prétention a su attirer une bonne clientèle. Il ne reste qu’à capitaliser sur son succès par la suite. Simple non?

E-commerce: Considérer les réseaux sociaux

Une étude de HitWize révèle que les outils de recherche n’ont plus l’exclusivité dans le domaine du trafic ciblé. En effet, il semble que les réseaux sociaux, MySpace en tête, amènent de plus en plus de trafic aux sites de vente en ligne.

Ce qui ne ressort pas dans ce graphique est que MySpace à référé 2.58% de visiteurs vers les sites d’achat en ligne et d’annonces classées. Une hausse de 1.28% dans les 6 derniers mois. Ce pourcentage le placerait donc en 4e place si MySpace était un outil de recherche.

Les sites qui profitent le plus de l’effet MySpace sont Amazon, eBay, Craig’s List… Des sites d’annonces classées et d’achat pour le grand public bref.

Faudra-t-il inclure dans notre plan marketing un paragraphe pour MySpace?

Être ou ne pas être gratuit, là est la question

La question est simple. La réponse est plus complexe qu’il n’y parait. Vous prévoyez lancer un site web commercial qui offre un service en ligne et vous réfléchissez à la structure de prix. Offrez-vous le service, complet ou en partie, gratuitement?

Un accès de base gratuit est une pratique courante, dans les modèles avec abonnements sur le web et les logiciels principalement. Mais certains se « risquent » qu’à n’offrir une période d’essai gratuite pour un temps limité. Ensuite tout est payant.

Il y a plusieurs éléments à considérer. Premièrement, avoir une offre gratuite peut avoir un impact considérable sur le marketing viral. Plus de monde l’utilise parce que c’est gratuit alors plus de monde en parle et donc encore plus de monde l’utilise et en parle.

Ensuite, avoir un accès gratuit permet aux clients de tester votre service sans débourser des frais. Pour une entreprise qui démarre et qui n’a pas de crédibilité établie, c’est un gros « plus ». De plus, une bonne base d’utilisateurs aide à améliorer son produit.

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