En lisant cet article de Techcrunch, une phrase est pleine de sens : « It’s not the sexiest business in the world, but it sure is profitable ». En d’autres mots, on ne sera pas des vedettes comme Facebook et Twitter, mais on va s’en mettre plein les poches!
Le dileme
En business, on peut penser de deux manières. De un, on peut vouloir changer le monde. Créer quelque chose dans un but idéaliste. De deux, on peut vouloir brasser des affaires. Jouer au Monopoly, mais avec du vrai pognon quoi. L’argent n’est pas secondaire, au contraire! On peut aussi avoir un mix des deux. Je suis un peu comme ça.
Être une vedette
Le besoin de reconnaissance est très fort chez l’humain. C’est important d’avoir du crédit de ses pairs. Tant qu’à entreprendre quelque chose, si on peut parler de nous, c’est fait un petit velours. Soyons honnête, on aime tous ça être le centre d’attention un jour ou l’autre. Dès qu’on se lance en affaires, on cherche à prouver à notre entourage qu’on a fait le bon choix. Et ce besoin de se prouver va en grandissant.
Faire du fric
Perso, ceux qui me fascinent sont ceux dont on n’entend jamais parler, mais qui on du fric plein la banque. Ça me fascine parce qu’ils jouent au Monopoly, gagnent un max et ne recherchent pas l’attention. Pire, ils sont bien dans l’ombre. La reconnaissance? Who gives a damn! Eux leur dada, c’est de manier le business comme un chef cuisinier manie son couteau. Le business, c’est un art. Laisser du fric sur la table est une erreur, peu importe la raison.
Bref, mon côté émotif me porte souvent à m’arrêter à ce que les autres vont penser de telle ou telle idée. Mon côté rationnel me pousse à cesser de m’en faire, mais de me concentrer sur mon but professionnel qui est l’indépendance de fortune. Les deux sont souvent en opposition, mais je ne cacherai pas mon penchant pour le fric. Après tout, la mesure de ma réussite est la journée où je dirai « So long suckers! » et que je partirai pour ma retraite sur une île paradisiaque siroter des pina-coladas!