De la Molson Dry, du papier-bulles et un blogueur

–    Le livreur « Bonjour, un colis pour Stéphane Guérin »
–    Stéphane Guérin « Yé, ma bière est arrivée! »

Ça ne prend pas grand-chose pour rendre une blogueur heureux : Un peu de bière et du papier-bulles. C’est ce que j’ai reçu hier. En effet, les gens des relations publiques pour Molson Dry m’offraient une bière dans l’espoir que je parle de leur campagne des Pros du Party.

Deux choses

Tout d’abord, ce que je trouve drôle et d’intérêt, c’est vraiment de recevoir de la bière par la poste, enveloppée dans du papier bulles. J’étais heureux comme un gamin qui reçoit ses lunettes X-Ray pour voir à travers le linge des filles. Le seul problème, c’est qu’elle est livrée chaude (Non, mais!).

L’autre, c’est que j’ai essayé leur fameuse application à télécharger sur leur site. En passant la bière devant la webcam, ça génère des animations 3D. Celles-ci ne m’ont pas impressionné comme tel, mais j’aime bien le genre de truc de reconnaissance visuelle. Ce domaine n’est qu’à ses débuts. Les téléphones intelligents et l’internet omniprésent feront que ces applications seront de plus en plus pertinentes et populaires.

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Que penser de LeSoleilSurMonOrdi.ca?

J’avais déjà vu LaPresseSurMonOrdi.ca, mais je ne m’y étais pas intéressé étant donné que je ne suis pas un lecteur. Par contre, je suis un lecteur du Soleil (l’équivalent de la Presse pour la ville de Québec) et je viens de voir que LeSoleilSurMonOrdi.ca a été lancé.

Kossé ça?

Le concept est bien simple : au lieu d’avoir une version Web du journal comme Cyberpresse, on a le journal papier as is, format électronique. Comme ça existe déjà pour de nombreuses circulaires. Je pense que le journal de Québec avait déjà tenté quelque chose de semblable il y a quelques années. Sans succès.

Alors j’en pense quoi?

Je me demande si ça s’adresse à moi, consommateur Web très branché. Sûrement plus qu’à ma grand-mère qui pense encore que le micro-onde est une invention du diable.

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Yulbiz, SWAFF, DrumBiz, peu importe tant qu’on y est

J’ai eu le plaisir d’assister à la première soirée Web et affaires sans nom organisée à Drummondville par Luc Gendron. Sans nom parce qu’ils ne se sont pas encore branchés sur un nom. Perso, j’aime bien Drumbiz. L’appelation SWAFF est aussi une option puisque ce n’est pas lié géographiquement comme « YUL » qui est le code d’un aéroport à Montréal.

Le nom, c’est accessoire

Peu importe le nom qu’on donne à une telle soirée, c’est vraiment les gens qui participent qui font que c’est mémorable. Évidemment, c’est difficile d’être aussi bons et créatifs que nous, les gens de Québec, et de trouver un nom original, informel, à double-sens et relax comme SWAFF. (Ceux qui me connaissent noteront la note d’humour ici)

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Comment faire de l’argent en 3 étapes faciles

Je reçois régulièrement du courrier me demandant des recettes miracles pour faire de l’argent avec Internet. Évidemment, ça fait suite à mon billet « Devenir riche avec Internet sans se fatiguer ». Ces personnes n’ont pas compris le sarcasme du billet et qu’il n’est pas facile de devenir riche en ne faisant rien.

Mais bon, comme je tiens au bonheur de mon prochain, je leur ai concocté une petite recette bien simple pour faire un tas de fric. La voici.

Étape 1 : Trouver un flux monétaire

Un flux monétaire, c’est une activité où l’argent circule déjà. Par exemple, les stations-service pour faire le plein, les chambres d’hôtels, l’épicerie, la revente de billets de spectacle, etc. Bref, trouvez un flux monétaire qui existe déjà et où les gens sont habitués de dépenser. C’est plus facile que de faire sortir de l’argent pour de nouvelles dépenses.

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Web analytique : WASP v1.0 est lancé!

J’apprends sur son blogue que l’entreprise de mon pote Stéphane Hamel, Immeria, vient de lancer la version 1.0 de son logiciel WASP.

Qu’est-ce que WASP?

WASP, pour Web Analytics Solution Profiler, est une extension Firefox pour les professionnels du Web analytique. Entre autres, ça sert à assurer la qualité d’implémentation d’une solution  Web analytique. Ça sert aussi à savoir comment les autres sont marqués et ce qu’ils récoltent à notre sujet. WASP supporte présentement 124 solutions Web analytique (dont l’excellent Percute Analytique), réseaux de publicité et autres kossins.

Bref, je l’utilise depuis quelques mois déjà et je peux dire que c’est un outil très bien fait et surtout très pratique. Et, Curieusement, c’est le seul du genre à ma connaissance. J’aime aussi son outil pour proposer et voter de nouvelles fonctionnalités. À essayer!

Mes amis Facebook en échange d’un Whopper? Tu parles!

Décidément, Burger King sont très doués dans l’utilisation  des nouveaux médias pour leur marketing. Ils ont déjà fait des jeux et des vidéos. Là, ils reviennent à la charge avec Facebook. Comment? En échangeant des amis contre un Whopper!

En fait, j’adore l’idée parce que j’ai toujours trouvé inutile d’avoir un tas « d’amis » que je ne connais pas où à qui je n’ai jamais adressé la parole. Aujourd’hui, ce ne sont plus des amis du type « random dude », mais une ressource monnayable contre des produits et services! Comme les points Air Miles, on accumule les « random dudes » dans notre liste d’amis et on échange le tout contre un délicieux hamburger. Qu’est-ce que sacrifier 10 amis quand on en a 100, 200, 500 ou 1000?

Moi qui me cherchait une raison pour faire du ménage dans mes amis… Malheureusement, c’est pour le marché américain. Pour l’instant. Mais faites gaffe. Si ça vient au Canada, je vais en sacrifier quelques uns avec plaisir!

Colektivo : investissement 2.0

Julien Niquet, le frère de l’autre, travaille depuis un bon moment sur un projet de plateforme collaborative de financement. Ça doit bien faire 1 an qu’il m’a questionné à ce sujet. Je trouvais l’idée intéressante et voici que le projet est avancé sans toutefois être lancé.

Le principe est simple : Une communauté d’épargnants financent des entreprises et récoltent les intérêts. Pour les épargnants, c’est une alternative moins gourmande en frais de gestion que les fonds de placements tout en aidant des entreprises d’ici. Pour les entreprises, c’est une possibilité de financement probablement plus simple que les banques et VC traditionnels. Le tout sans garantie de prêt. Ça, c’est un gros plus. C’est déjà difficile de se lancer en affaires, quand il faut mettre sa maison en garantie en plus, ça en décourage plusieurs.

Par contre, je me demande à quel point un tel système peut être utile pour les startups. Comme dans le financement traditionnel, c’est sûrement facile d’attirer les investisseurs quand on a un carnet de commandes garni et une stabilité financière. Mais les startups n’ont jamais ça. Les seules choses qu’ils ont, c’est leur rêve et leur volonté!

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