Bienvenue à Jean-Philippe Bonneau chez DashThis

Et bien voilà, on peut l’annoncer officiellement : Jean-Philippe Bonneau, que tout le monde connaît pour son implication comme directeur général à la VETIQ, se joint à moi pour propulser DashThis dans la stratosphère.

Pourquoi un associé?

Historiquement, j’ai toujours eu un associé dans tous mes projets. J’en avais même deux chez Nofolo. Parce que c’est plus l’fun de partager les bons coups à deux. Parce que c’est plus facile de passer à travers les temps durs. Parce que c’est dur de prendre toutes les décisions. Parce que c’est plus crédible vu de l’extérieur (les one man show sont moins bien vu que les équipes équilibrées). Etc.

Aussi, faut se connaître. Je suis un gars d’idées et de preuves de concept. Je suis le scientifique qui s’enferme pour patenter des patentes. Il me manque le côté ventes, développement des affaires et PR.

Pourquoi JP Bonneau?

Curieusement, il n’était pas sur mon radar du tout. En effet, JP a le pedigree pour une grosse job dans une grosse boîte avec une grosse cravate et le gros salaire. Pourquoi une startup de garage l’intéresserait-il? Au fil des discussions suite à un dîner très informel, il y a eu un déclic. Je me dis souvent « sait-on jamais » ou « What if… ». C’était un de ces cas où l’improbable arrive.

Dans le concret

Beaucoup de progrès a été fait depuis notre poignée de main. Une startup, ce n’est pas seulement de programmer un truc. Ça c’est la partie facile. C’est surtout de parler au monde, avoir des feedbacks, raffiner le modèle d’affaires, préciser le marché cible, être optimiste en étant réaliste, obtenir des rendez-vous avec les bonnes personnes, écouter, proposer, ajuster, écouter et closer des deals. L’apport de Jean-Philippe est immédiat, concret et substantiel.

Et la suite?

Et bien, c’est de concrétiser la vision et le rêve! Personnellement, c’est le moment que je préfère dans une startup. Croire à un projet un peu fou, le réaliser puis regarder en arrière en se disant « wow, on l’a fait ». En fait, je pense que je suis accro à ça.

Donc beaucoup de boulot sur la planche pour notre jeune équipe.

Assez parlé. Au travail!