Voilà maintenant plus d’un an que j’ai publié mon article « Faire de l’argent avec ACN? Non merci! » et ça ne cesse pas : Je reçois régulièrement des centaines de visites provenant de Google et des dizaines de emails chaque semaine.
Moi, Steph, petit blogueur dans un bled perdu, empêche de dormir bien des gens. Et pour cause! Chaque fois qu’un de ces types d’ACN essaie de recruter un nouveau pigeon, je suis là. Pas très loin. C’est moi le type qui va foutre le bordel dans un beau pitch de vente.
Comment? En ayant blogué sur le bon sujet au bon moment. En effet, après leur fameux pitch de vente où tout est rose bonbon, le prospect moindrement critique ira consulter son ami Google pour voir ce qu’il en pense. Et Google pense que Steph est assez pertinent pour sortir deuxième après l’entreprise ACN.
Un billet, des milliers de visites
À moi seul, équipé de mon modeste blogue, j’ai probablement mis des bâtons dans les roues de quelques adhésions. Jouons avec les chiffres un peu… En un an, le mot clé ACN a généré 62 500 visites sur mon blogue et plus de 96 000 pages vues. Disons que mon billet a convaincu une personne par tranche de 100 visites de ne pas adhérer. Comme chaque adhésion coûte 477$, c’est donc 625 personnes sur un an qui n’ont pas adhéré et qui ont économisé 298 125$! Amusant, n’est-ce pas?
Et c’est là que le Web est intéressant pour le consommateur. Autrefois, l’entreprise contrôlait le message et le consommateur était démuni de recours face aux corporations. Aujourd’hui, un simple blogueur sans moyen peut dénoncer des mauvaises pratiques au monde entier. Plus que ça, une poignée de citoyens ordinaires peuvent à eux seuls enterrer les efforts marketing de bien des entreprises si celles-ci ont des pratiques ou produits douteux.
P.S.: Avis aux gens d’ACN qui squattent mon blogue : Je ne connais pas votre business et je ne veux pas la connaître. Par contre, je connais assez le marketing à palliers multiples pour vous assurer que ce n’est pas ma tasse de thé.