La bonne nouvelle : Mon genou va mieux depuis que je cours dehors. Je pense que mon genou n’aiment pas les intervalles sur le tapis. La mauvaise nouvelle : J’ai une putain de périostite. Ça me l’avait fait il y a quelques années. Ça me le refait là. Sans doute parce que j’ai poussé la machine un peu trop fort.
Depuis mon bobo au genou, j’avais du retard. Pourtant, mes longues sorties allaient bien. Et cette semaine, dans une toute petite demi-heure de course, c’est le calvaire. Si avant mes périostites était larges et inconfortables, là, c’est aigu et localisé. Ça ne me semble pas être une bonne nouvelle. Surtout quand je lis que « Il ne faut jamais négliger une périostite car sa complication directe est la fracture de fatigue. »
En plus que le demi-marathon est dans 10 jours. Damn! Ma forme est au top pour ce genre d’épreuve. Je suis très confiant de faire un demi-marathon en 2h sans avoir besoin d’une chaise roulante pour le terminer. Et c’est un peu le test qui va me dire si c’est réaliste un marathon à la fin de l’été. Alors un bobo à 10 jours de l’événement, c’est pas bon.
Bref, si courir n’était juste qu’une question d’être en forme, je ne ferais que du vélo. Mais non, courir est pour les têtus qui veulent se dépasser. Et ça tombe bien, je suis tombé dans la marmitte têtue quand j’étais petit.
